
Au cours de leur dernière année de formation, en 2017, 38 % des étudiants diplômés de l’enseignement supérieur court déclaraient vivre chez leurs parents ou un membre de leur famille, contre 20 % de ceux diplômés de l’enseignement supérieur long.
Vivre chez ses parents est bien plus fréquent pour les étudiants originaires des milieux modestes ou des villes-centres et d’Île‑de‑France, traduisant un phénomène très différencié socialement et géographiquement. Les étudiants cohabitant avec leurs parents ont par ailleurs des trajets plus longs pour se rendre sur leur lieu d’études.
La cohabitation tend enfin à se prolonger au-delà des études pour les moins diplômés : la moitié des jeunes diplômés du supérieur court qui habitent chez leurs parents lors de leur dernière année d’études continuent à le faire au cours de leurs trois premières années de vie active.
Télécharger la publication
Télécharger les données
INJEP>> Analyse complète
Vivre chez ses parents est bien plus fréquent pour les étudiants originaires des milieux modestes ou des villes-centres et d’Île‑de‑France, traduisant un phénomène très différencié socialement et géographiquement. Les étudiants cohabitant avec leurs parents ont par ailleurs des trajets plus longs pour se rendre sur leur lieu d’études.
La cohabitation tend enfin à se prolonger au-delà des études pour les moins diplômés : la moitié des jeunes diplômés du supérieur court qui habitent chez leurs parents lors de leur dernière année d’études continuent à le faire au cours de leurs trois premières années de vie active.
Télécharger la publication
Télécharger les données
INJEP>> Analyse complète
Dans la même rubrique
-
Actu - Diagnostic de Performance Energétique (DPE) : un nouvel arrêté validé pour renforcer les contrôles et lutter contre les fraudes et sécuriser le dispositif
-
JORF - Chèque énergie - Adaptation des critères d’éligibilité, plafonds de gestion et modalités de versement
-
Juris - Taxe annuelle sur les logements vacants - Des travaux destinés à conférer au bien un caractère luxueux ne sauraient être regardés comme des travaux nécessaires pour rendre un bien « habitable »
-
Assouplissement des règles de transformation des bureaux en logements
-
Actu - La réforme du coefficient d’énergie primaire impactant le DPE a trop d’effets pervers