Dans l’objectif d’avoir sur chaque parcelle agricole une activité agricole générant un revenu suffisant aux exploitants et contribuant à notre souveraineté alimentaire, le Gouvernement accompagne de façon croissante les agriculteurs dans les territoires concernés par les impacts du dérèglement du climat méditerranéen, à risque d’une désertification et de la multiplication de risques pour les populations (inondations, coulées de boue et érosion, incendies).
C’est le sens du plan « agriculture climat Méditerranée », dont le ministre de l’Agriculture et de la Souveraineté alimentaire annonce ce jour le lancement de la concertation.
Le ministre envisage un plan en trois axes d’actions :
- Echanger sur les conséquences du changement climatique sur les filières et sur la ressource en eau en particulier.
- Soutenir des projets pour des filières locales de diversification, pour consolider l’activité agricole dans chaque territoire.
- Faire émerger de nouveaux projets collectifs.
Est proposé un objectif de labelliser au moins 20 projets d’ici l’automne, 50 d’ici début 2025. Les fonds de la planification écologique seraient mobilisés en accompagnement, pour un total de 45 M€, dont notamment le fonds de transition et de souveraineté agricole avec un accès dédié.
L’implication de tous est nécessaire : État, collectivités territoriales, exploitants agricoles, industrie agro-alimentaire et plus généralement toute la chaine agro-alimentaire.
Source - Ministère de l’Agriculture
C’est le sens du plan « agriculture climat Méditerranée », dont le ministre de l’Agriculture et de la Souveraineté alimentaire annonce ce jour le lancement de la concertation.
Le ministre envisage un plan en trois axes d’actions :
- Echanger sur les conséquences du changement climatique sur les filières et sur la ressource en eau en particulier.
- Soutenir des projets pour des filières locales de diversification, pour consolider l’activité agricole dans chaque territoire.
- Faire émerger de nouveaux projets collectifs.
Est proposé un objectif de labelliser au moins 20 projets d’ici l’automne, 50 d’ici début 2025. Les fonds de la planification écologique seraient mobilisés en accompagnement, pour un total de 45 M€, dont notamment le fonds de transition et de souveraineté agricole avec un accès dédié.
L’implication de tous est nécessaire : État, collectivités territoriales, exploitants agricoles, industrie agro-alimentaire et plus généralement toute la chaine agro-alimentaire.
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