
Si la proportion de logements aux médiocres qualités énergétiques, classés en «F» ou «G» sur l’échelle du diagnostic de performance énergétique (DPE) est certes nettement inférieure à la moyenne française, autour de 17% en 2020, elle représente tout de même plus de 350.000 résidences.
Les HLM doivent désormais s’attaquer aux habitations les plus dures à réhabiliter, avec des coûts pouvant aller jusqu’à «100.000 euros par logement». C’est ce qu’a annoncé Emmanuelle Cosse, présidente de l’Union sociale pour l’habitat (USH) au cours du congrès HLM. La mise en place du nouveau DPE , couplée à l’application du décret sur la décence interdisant progressivement la location des passoires thermiques, doit permettre de donner un coup d’accélérateur à la rénovation des logements du parc social.
Certains organismes HLM souhaitent aller plus loin en misant sur les logements à énergie positive. Ce dont témoigne Marcel Rogemont, président de la Fédération des Offices publics de l’habitat (FOPH) qui s’est appuyé sur le mouvement européen Energiesprong , qui regroupe des logements similaires de bailleurs puis les met en relation avec des entreprises pour qu’elles puissent «industrialiser» les travaux. En 2022, Energiesprong aimerait doubler le nombre de ses rénovations en cours, à 6.000.
Les organismes HLM attendent toutefois «de nouveaux dispositifs de financement» pour ces grands travaux.
Réseau Rappel >> Analyse complète
Source : Le Figaro Immobilier, 30 septembre 2021
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Les HLM doivent désormais s’attaquer aux habitations les plus dures à réhabiliter, avec des coûts pouvant aller jusqu’à «100.000 euros par logement». C’est ce qu’a annoncé Emmanuelle Cosse, présidente de l’Union sociale pour l’habitat (USH) au cours du congrès HLM. La mise en place du nouveau DPE , couplée à l’application du décret sur la décence interdisant progressivement la location des passoires thermiques, doit permettre de donner un coup d’accélérateur à la rénovation des logements du parc social.
Certains organismes HLM souhaitent aller plus loin en misant sur les logements à énergie positive. Ce dont témoigne Marcel Rogemont, président de la Fédération des Offices publics de l’habitat (FOPH) qui s’est appuyé sur le mouvement européen Energiesprong , qui regroupe des logements similaires de bailleurs puis les met en relation avec des entreprises pour qu’elles puissent «industrialiser» les travaux. En 2022, Energiesprong aimerait doubler le nombre de ses rénovations en cours, à 6.000.
Les organismes HLM attendent toutefois «de nouveaux dispositifs de financement» pour ces grands travaux.
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Source : Le Figaro Immobilier, 30 septembre 2021
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