
Le Cerema a contribué à une étude sur les logements en colocation à Lille pour établir un état des lieux d’un point de vue quantitatif, sociologique, ainsi que juridique et fiscal. Ce travail a été mené avec un groupement coordonné par Espacité, à la demande de la Métropole Européenne de Lille.
D’après le recensement 2018 de l’INSEE, 48 % des Lillois sont locataires du parc privé. Bien qu’ancienne, la colocation tend à se développer et s’ancre de plus en plus dans la logique des locataires comme des bailleurs. Le modèle peut notamment être attractif pour les étudiants souhaitant privilégier la vie en communauté et avoir accès à des logements plus spacieux.
Mais on observe également une généralisation de ce mode d’habiter, notamment auprès des jeunes actifs. Les propriétaires, quant à eux, choisissent d’investir dans de grands biens proposés en colocation, leur permettant ainsi d’échapper au permis de diviser mis en place par la Métropole Européenne de Lille (MEL) en 2018 en réponse au phénomène important de fractionnement de grands logements.
Au sommaire :
- Une vision transversale de la colocation souhaitée par la ville de Lille
- Elaboration d'une méthode d'observation
Une observation complexe
Une utilisation innovante des fichiers du recensement
- Quelques éléments de résultats
+ 50 % de colocations entre 2007 et 2017
- Les colocataires, des diplômés précaires
- Pour conclure
CEREMA >> Rapport complet
D’après le recensement 2018 de l’INSEE, 48 % des Lillois sont locataires du parc privé. Bien qu’ancienne, la colocation tend à se développer et s’ancre de plus en plus dans la logique des locataires comme des bailleurs. Le modèle peut notamment être attractif pour les étudiants souhaitant privilégier la vie en communauté et avoir accès à des logements plus spacieux.
Mais on observe également une généralisation de ce mode d’habiter, notamment auprès des jeunes actifs. Les propriétaires, quant à eux, choisissent d’investir dans de grands biens proposés en colocation, leur permettant ainsi d’échapper au permis de diviser mis en place par la Métropole Européenne de Lille (MEL) en 2018 en réponse au phénomène important de fractionnement de grands logements.
Au sommaire :
- Une vision transversale de la colocation souhaitée par la ville de Lille
- Elaboration d'une méthode d'observation
Une observation complexe
Une utilisation innovante des fichiers du recensement
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+ 50 % de colocations entre 2007 et 2017
- Les colocataires, des diplômés précaires
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