
Le coup de pouce au «chèque énergie» n'aura pas suffi à éteindre l'incendie. Moins de quinze jours après l'annonce d'une revalorisation exceptionnelle de 100 euros de celui-ci pour 5,8 millions de ménages modestes, le gouvernement a été obligé de dégainer d'autres mesures pour contrer la flambée de la facture énergétique des Français.
Le Premier ministre, Jean Castex a annoncé un gel des tarifs réglementés du gaz pour les sept prochains mois ainsi qu'un plafonnement de la hausse des prix de l'électricité à 4 % pour le consommateur jusqu'en février 2023, via une forte baisse d'impôt. Un «bouclier tarifaire», selon le chef du gouvernement.
Pour le gaz, ces annonces étaient d'autant plus urgentes que les prix augmentent tous les mois pour quelque 5 millions de foyers . Après les violentes hausses de l'été, les prix du gaz doivent encore croître de 12,6 % ce vendredi 1er octobre. Du jamais-vu. Et le mouvement devait se poursuivre : le gouvernement estime que les tarifs réglementés auraient grimpé de 30 % au cours des deux derniers mois de l'année s'il n'était pas intervenu.
Au sommaire de l’article
- Mesure autofinancée
- Un manque à gagner d'environ 4 milliards
- Traumatismes du quinquennat
Les Echos >> Article complet
Le Premier ministre, Jean Castex a annoncé un gel des tarifs réglementés du gaz pour les sept prochains mois ainsi qu'un plafonnement de la hausse des prix de l'électricité à 4 % pour le consommateur jusqu'en février 2023, via une forte baisse d'impôt. Un «bouclier tarifaire», selon le chef du gouvernement.
Pour le gaz, ces annonces étaient d'autant plus urgentes que les prix augmentent tous les mois pour quelque 5 millions de foyers . Après les violentes hausses de l'été, les prix du gaz doivent encore croître de 12,6 % ce vendredi 1er octobre. Du jamais-vu. Et le mouvement devait se poursuivre : le gouvernement estime que les tarifs réglementés auraient grimpé de 30 % au cours des deux derniers mois de l'année s'il n'était pas intervenu.
Au sommaire de l’article
- Mesure autofinancée
- Un manque à gagner d'environ 4 milliards
- Traumatismes du quinquennat
Les Echos >> Article complet
Dans la même rubrique
-
Actu - Logement étudiant en Île-de-France : répondre à l’urgence et aux attentes
-
Actu - Villes moyennes : les pistes pour accélérer leur rénovation
-
Actu - Mal-logement en Rhône-Alpes : le coût du logement asphyxie les plus précaires
-
Actu - Observatoire national des impayés de loyer et de charges locatives : Valérie Létard mobilise les acteurs pour mieux accompagner les ménages fragiles
-
RM - Identité des occupants sans droits ni titres