Rapport d'information/Coopération internationale > Pour la seule année 2013, plus de 22 millions de personnes ont été déplacées du fait de phénomènes climatiques. Au sein de ces populations particulièrement menacées, les femmes, qui représentent 70 % des personnes vivant avec moins d’un dollar par jour, sont en première ligne.
Elles le sont d’autant plus que, dans les pays du Sud et dans certains territoires océaniques particulièrement concernés par le dérèglement climatique, les femmes sont, comme ailleurs dans le monde, confinées dans des rôles sociaux prédéfinis et éprouvent des difficultés à accéder à leurs droits les plus fondamentaux.
Ainsi, elles sont souvent chargées de veiller à la subsistance de leurs collectivités et sont par conséquent les premières à souffrir des impacts des changements climatiques sur les ressources naturelles.
Les femmes subissent de plein fouet l’incidence négative du réchauffement sur les cultures, les forêts et les réserves en eau nécessaires à l’irrigation, la raréfaction des terres disponibles et des ressources naturelles qui allonge les trajets et augmente le temps de travail. Sans pour autant posséder la terre sur laquelle elles travaillent, elles perdent leurs moyens de subsistance, et sont dans l’impossibilité de faire reconnaitre le préjudice subi.
Sénat - Rapport n°3492- 2015-02-10
Elles le sont d’autant plus que, dans les pays du Sud et dans certains territoires océaniques particulièrement concernés par le dérèglement climatique, les femmes sont, comme ailleurs dans le monde, confinées dans des rôles sociaux prédéfinis et éprouvent des difficultés à accéder à leurs droits les plus fondamentaux.
Ainsi, elles sont souvent chargées de veiller à la subsistance de leurs collectivités et sont par conséquent les premières à souffrir des impacts des changements climatiques sur les ressources naturelles.
Les femmes subissent de plein fouet l’incidence négative du réchauffement sur les cultures, les forêts et les réserves en eau nécessaires à l’irrigation, la raréfaction des terres disponibles et des ressources naturelles qui allonge les trajets et augmente le temps de travail. Sans pour autant posséder la terre sur laquelle elles travaillent, elles perdent leurs moyens de subsistance, et sont dans l’impossibilité de faire reconnaitre le préjudice subi.
Sénat - Rapport n°3492- 2015-02-10
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