
L’Action Tank Entreprise & Pauvreté et La Banque Postale publient, conjointement, avec le soutien du Boston Consulting Group (BCG) une étude démontrant que les français les plus modestes paient plus cher les mêmes biens et services que le reste de la population
Cette étude comprend deux volets
- Une partie quantitative réalisée en partenariat avec Boston Consulting Group (BCG) qui se concentre sur la comparaison entre ménages pauvres et ménages médians sur un périmètre de dix postes de dépense, couvrant 70 % du budget d’une famille représentative
- Une enquête qualitative menée par Opinion Way et Action Tank qui éclaire la distribution de cette double peine en fonction des profils de ménages
Principaux enseignements de l’étude
· La double peine moyenne est estimée à 700 € par an pour les ménages des 2 premiers déciles de niveau de vie, soit 10 semaines d’approvisionnement alimentaire. 90 % de ce montant est concentré sur cinq postes de dépense : le loyer, les charges et l’énergie, la mobilité, les assurances et les emprunts.
· Ce chiffre masque cependant de fortes disparités de profils et de situations : pour 1 million de Français (soit 8% des ménages des 2 premiers déciles de niveau de vie), la double pénalité représente plus de 1 500€ par an, soit un montant deux fois plus élevé que la moyenne.
· Pour certains postes de dépenses, des mécanismes de soutien existent afin de réduire les dépenses des ménages les plus modestes. Mais d’autres leviers pourraient être activés par les secteurs public et privé pour minimiser la double peine.
Synthèse de l’étude
La Banque Postale - Communiqué complet
Cette étude comprend deux volets
- Une partie quantitative réalisée en partenariat avec Boston Consulting Group (BCG) qui se concentre sur la comparaison entre ménages pauvres et ménages médians sur un périmètre de dix postes de dépense, couvrant 70 % du budget d’une famille représentative
- Une enquête qualitative menée par Opinion Way et Action Tank qui éclaire la distribution de cette double peine en fonction des profils de ménages
Principaux enseignements de l’étude
· La double peine moyenne est estimée à 700 € par an pour les ménages des 2 premiers déciles de niveau de vie, soit 10 semaines d’approvisionnement alimentaire. 90 % de ce montant est concentré sur cinq postes de dépense : le loyer, les charges et l’énergie, la mobilité, les assurances et les emprunts.
· Ce chiffre masque cependant de fortes disparités de profils et de situations : pour 1 million de Français (soit 8% des ménages des 2 premiers déciles de niveau de vie), la double pénalité représente plus de 1 500€ par an, soit un montant deux fois plus élevé que la moyenne.
· Pour certains postes de dépenses, des mécanismes de soutien existent afin de réduire les dépenses des ménages les plus modestes. Mais d’autres leviers pourraient être activés par les secteurs public et privé pour minimiser la double peine.
Synthèse de l’étude
La Banque Postale - Communiqué complet
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