L'application Cartofriches, présentée en Conseil de défense écologique le 27 juillet 2020, s’inscrit dans l’objectif de zéro artificialisation nette, alors que près de 24.000 hectares de sols naturels et agricoles sont urbanisés chaque année.
De nouveaux observatoires locaux ont été intégrés à la base de données, de même que les sites candidats aux appels à projets régionaux du fonds friches. Un enrichissements des données qui préfigure la mise à disposition d'une base de données "friches" homogène au niveau national en septembre.
Utiliser la connaissance locale des sites en friche
Afin de limiter l’étalement urbain, une solution est de développer des projets sur d’anciens sites industriels, ou d’autres espaces désaffectés. L’outil Cartofriches, développé par le Cerema pour le Ministère de la transition écologique, permet de visualiser sur une carte ces sites en friche à l’échelle nationale, et constitue un outil pour la prise de décision.
Il a vocation à être alimenté par des données nationales permettant un pré-recensement de sites potentiellement en friche, mais aussi et surtout par la connaissance locale (inventaires et observatoires locaux, études…).
La version beta mise en ligne en juillet utilisait comme point de départ des données issues de BASIAS (Base de données des Anciens Sites Industriels et Activités de Services) et BASOL (une base de données sur les sites et sols potentiellement pollués appelant une action des pouvoirs publics) ainsi que de trois observatoires locaux (ceux des Directions départementales des territoires de la Marne et des Ardennes, et celui de l'Agence de développement et d'urbanisme du Grand Amiénois).
Au sommaire
- L'application évolue et s'enrichit de nouvelles données locales
- Découvrez l'outil en ligne, version bêta
CEREMA >> Article complet
De nouveaux observatoires locaux ont été intégrés à la base de données, de même que les sites candidats aux appels à projets régionaux du fonds friches. Un enrichissements des données qui préfigure la mise à disposition d'une base de données "friches" homogène au niveau national en septembre.
Utiliser la connaissance locale des sites en friche
Afin de limiter l’étalement urbain, une solution est de développer des projets sur d’anciens sites industriels, ou d’autres espaces désaffectés. L’outil Cartofriches, développé par le Cerema pour le Ministère de la transition écologique, permet de visualiser sur une carte ces sites en friche à l’échelle nationale, et constitue un outil pour la prise de décision.
Il a vocation à être alimenté par des données nationales permettant un pré-recensement de sites potentiellement en friche, mais aussi et surtout par la connaissance locale (inventaires et observatoires locaux, études…).
La version beta mise en ligne en juillet utilisait comme point de départ des données issues de BASIAS (Base de données des Anciens Sites Industriels et Activités de Services) et BASOL (une base de données sur les sites et sols potentiellement pollués appelant une action des pouvoirs publics) ainsi que de trois observatoires locaux (ceux des Directions départementales des territoires de la Marne et des Ardennes, et celui de l'Agence de développement et d'urbanisme du Grand Amiénois).
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