Le besoin d’adaptation des logements aux fortes chaleurs est un sujet identifié par les bailleurs. Néanmoins, il est globalement faiblement intégré dans leurs stratégies, avec des situations hétérogènes.
Dans le neuf, l’existence d’une règlementation impose aux bailleurs de prendre en compte cette thématique. Ils le font à des degrés divers d’ambition. Dans l’existant, peu de solutions sont mises en place ; elles le sont le plus souvent de façon « opportuniste » dans le cadre d’une rénovation plus globale.
Ces solutions dites « passives » (sur le bâti), couplées potentiellement à l’installation de brasseurs d’air et à un aménagement de la parcelle (végétalisation, désimperméabilisation), sont jugées efficaces par les bailleurs
L’adaptation aux fortes chaleurs peut requérir aussi des changements de comportement de la part des habitants. Pour autant, dans certains cas, le recours à la climatisation est vu comme inéluctable à plus ou moins long terme.
Au-delà de l’aspect financier, les principaux freins mentionnés par les bailleurs à une meilleure prise en compte du confort thermique d’été sont la méconnaissance de leur parc, l’absence de référentiels partagés, certaines contraintes techniques et architecturales ainsi que des organisations et ressources en interne encore à structurer.
Source - ANCOLS
Dans le neuf, l’existence d’une règlementation impose aux bailleurs de prendre en compte cette thématique. Ils le font à des degrés divers d’ambition. Dans l’existant, peu de solutions sont mises en place ; elles le sont le plus souvent de façon « opportuniste » dans le cadre d’une rénovation plus globale.
Ces solutions dites « passives » (sur le bâti), couplées potentiellement à l’installation de brasseurs d’air et à un aménagement de la parcelle (végétalisation, désimperméabilisation), sont jugées efficaces par les bailleurs
L’adaptation aux fortes chaleurs peut requérir aussi des changements de comportement de la part des habitants. Pour autant, dans certains cas, le recours à la climatisation est vu comme inéluctable à plus ou moins long terme.
Au-delà de l’aspect financier, les principaux freins mentionnés par les bailleurs à une meilleure prise en compte du confort thermique d’été sont la méconnaissance de leur parc, l’absence de référentiels partagés, certaines contraintes techniques et architecturales ainsi que des organisations et ressources en interne encore à structurer.
Source - ANCOLS
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