
Fidèle à sa vocation d’observatoire des services publics qui constitue l’un de ses missions, l‘Institut de
la Gestion Déléguée a souhaité il y a 6 ans entamer la publication d’une cartographie des modes de gestion de 13 grands services publics locaux.
Au fil des éditions, l’échantillon étudié s’est élargi pour compter en 2019 plus de 220 collectivités territoires. Cette version numérique regroupe les données issues des trois Atlas publiés en 2013, 2015 et 2019.
Atlas de la gestion des services publics locaux 2019 dans les villes ou intercommunalités de plus de 30 000 habitants
Trois enseignements peuvent être tirés de ces six années :
- Contrairement à une idée reçue largement répandue, le choix du mode de gestion des
services publics locaux n’a pas de lien avec l’appartenance partisane des exécutifs locaux. Il
est bien le fruit d’héritages locaux, mais surtout du choix clairement assumé du mode de
gestion qui apparait aux élus des territoires comme étant le mieux adapté à leur situation, à
leurs moyens financiers, humains et techniques.
- Il n’existe pas de territoire qui gère l’ensemble de ses services publics de la même manière,
ce qui renforce l’idée selon laquelle le choix est avant tout pragmatique.
- Aucun service public n’est géré de manière uniforme sur tout le territoire national ou sur
l’ensemble de l’échantillon étudié. Il existe des tendances lourdes, liées certainement à la
technicité ou à la complexité de certains services publics, mais il n’y a pas d’uniformité en la
matière.
Si les trois enseignements sont confirmés au fil de nos Atlas, de nouvelles particularités apparaissent
dans cette édition 2019…
https://atlas.fondation-igd.org/
la Gestion Déléguée a souhaité il y a 6 ans entamer la publication d’une cartographie des modes de gestion de 13 grands services publics locaux.
Au fil des éditions, l’échantillon étudié s’est élargi pour compter en 2019 plus de 220 collectivités territoires. Cette version numérique regroupe les données issues des trois Atlas publiés en 2013, 2015 et 2019.
Atlas de la gestion des services publics locaux 2019 dans les villes ou intercommunalités de plus de 30 000 habitants
Trois enseignements peuvent être tirés de ces six années :
- Contrairement à une idée reçue largement répandue, le choix du mode de gestion des
services publics locaux n’a pas de lien avec l’appartenance partisane des exécutifs locaux. Il
est bien le fruit d’héritages locaux, mais surtout du choix clairement assumé du mode de
gestion qui apparait aux élus des territoires comme étant le mieux adapté à leur situation, à
leurs moyens financiers, humains et techniques.
- Il n’existe pas de territoire qui gère l’ensemble de ses services publics de la même manière,
ce qui renforce l’idée selon laquelle le choix est avant tout pragmatique.
- Aucun service public n’est géré de manière uniforme sur tout le territoire national ou sur
l’ensemble de l’échantillon étudié. Il existe des tendances lourdes, liées certainement à la
technicité ou à la complexité de certains services publics, mais il n’y a pas d’uniformité en la
matière.
Si les trois enseignements sont confirmés au fil de nos Atlas, de nouvelles particularités apparaissent
dans cette édition 2019…
https://atlas.fondation-igd.org/
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