
Que les maires se rassurent : 63% des Français se disent satisfaits de son action, à un peu plus d’un an de la fin du mandat. Un niveau qui reste stable bien qu’en retrait par rapport aux deux mandats précédents.
Ils sont aussi 62 % à juger que le maire et son équipe a tenu ses engagements de la campagne 2014, un taux quasiment stable par rapport à mars 2015 (64%), un an tout juste après le scrutin.
Autre bonne nouvelle pour les maires en place : 80 % de leurs électeurs au premier tour restent satisfaits de l’action menée par la municipalité sur la commune après plus de trois quart du mandat écoulé. Ils réussissent même à convaincre 39 % des électeurs qui leur avaient préféré une autre liste au premier tour, et 60 % des abstentionnistes.
Enfin, 58 % des Français souhaitent que le maire de leur commune se représente lors des prochaines municipales en 2020. Soit près de 10 points de plus que les maires souhaitent concourir à nouveau en 2020 selon la récente enquête du Cevipof.
Au sommaire
- Une (relative) désaffection touche les maires des grandes villes
- Non-diplômés et catégories modestes ont un regard sévère
- Les sympathisants LR et LREM convaincus
- La grogne des mélenchonistes
- Les "apolitiques" sont aussi les plus insatisfaits
- Ruralités et villes modestes accusent le coup
Ifop - Le Courrier des maires - 2018-11-20
Ils sont aussi 62 % à juger que le maire et son équipe a tenu ses engagements de la campagne 2014, un taux quasiment stable par rapport à mars 2015 (64%), un an tout juste après le scrutin.
Autre bonne nouvelle pour les maires en place : 80 % de leurs électeurs au premier tour restent satisfaits de l’action menée par la municipalité sur la commune après plus de trois quart du mandat écoulé. Ils réussissent même à convaincre 39 % des électeurs qui leur avaient préféré une autre liste au premier tour, et 60 % des abstentionnistes.
Enfin, 58 % des Français souhaitent que le maire de leur commune se représente lors des prochaines municipales en 2020. Soit près de 10 points de plus que les maires souhaitent concourir à nouveau en 2020 selon la récente enquête du Cevipof.
Au sommaire
- Une (relative) désaffection touche les maires des grandes villes
- Non-diplômés et catégories modestes ont un regard sévère
- Les sympathisants LR et LREM convaincus
- La grogne des mélenchonistes
- Les "apolitiques" sont aussi les plus insatisfaits
- Ruralités et villes modestes accusent le coup
Ifop - Le Courrier des maires - 2018-11-20
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