
L’accord national conclu avec l’Union des métiers et industries de l’hôtellerie (UMIH) permet la mise à l’abri dans des hôtels de personnes sans domicile grâce à l’achat de nuitées auprès des établissements par les services d’Etat ou structures associatives habilitées. Succédant à celui signé le 23 mars lors du premier confinement, cette nouvelle version comporte un certain nombre d’améliorations : les tarifs proposés, plafonnés, incluent systématiquement les prestations hôtelières (linge, entretien des chambres et des parties communes), sont homogènes sur tout le territoire, et l'aménagement des établissements est facilité pour les professionnels qui accompagnent les personnes hébergées.
Depuis l’ouverture le 17 octobre du Plan hiver et l’entrée en vigueur du confinement, Emmanuelle Wargon s’est engagée à créer autant de places nouvelles que l’exige la crise sanitaire pour protéger les personnes sans domicile. Ces dernières semaines, les besoins des territoires ont donc crû, rendant nécessaire le renouvellement de cet accord.
Ce nouvel accord a été conçu sur la base des retours d’expérience et des échanges avec l’UMIH à la fin du premier confinement. Pendant cette période, l’occupation des hôtels s’est faite paisiblement dans la quasi-totalité des cas et, de l’avis général, cette mobilisation exceptionnelle de l’ensemble des acteurs a permis de venir en aide à des personnes auparavant non connues des services d’aide ou refusant d’y recourir. Au plus fort de la crise, ce sont jusqu’à 13 000 places qui ont été ouvertes, dans 79 départements.
La Délégation interministérielle à l’hébergement et à l’accès au logement (DIHAL) sera chargée d’assurer le suivi de ce dispositif, afin notamment de garantir l’articulation avec le plan Logement d’abord, en facilitant le plus possible les sorties vers le logement pour les personnes hébergées.
MTE - Communiqué complet
Depuis l’ouverture le 17 octobre du Plan hiver et l’entrée en vigueur du confinement, Emmanuelle Wargon s’est engagée à créer autant de places nouvelles que l’exige la crise sanitaire pour protéger les personnes sans domicile. Ces dernières semaines, les besoins des territoires ont donc crû, rendant nécessaire le renouvellement de cet accord.
Ce nouvel accord a été conçu sur la base des retours d’expérience et des échanges avec l’UMIH à la fin du premier confinement. Pendant cette période, l’occupation des hôtels s’est faite paisiblement dans la quasi-totalité des cas et, de l’avis général, cette mobilisation exceptionnelle de l’ensemble des acteurs a permis de venir en aide à des personnes auparavant non connues des services d’aide ou refusant d’y recourir. Au plus fort de la crise, ce sont jusqu’à 13 000 places qui ont été ouvertes, dans 79 départements.
La Délégation interministérielle à l’hébergement et à l’accès au logement (DIHAL) sera chargée d’assurer le suivi de ce dispositif, afin notamment de garantir l’articulation avec le plan Logement d’abord, en facilitant le plus possible les sorties vers le logement pour les personnes hébergées.
MTE - Communiqué complet
Dans la même rubrique
-
Doc - Le soutien public au logement des étudiants : « Les dispositifs publics ne résorbent pas les disparités territoriales »
-
Doc - Biodiversité du bâti : l’Ordre des architectes mobilisé aux côtés de la Ligue de protection des oiseaux
-
Actu - Candidatez aux Pyramides d'Argent de la FPI 2025
-
Actu - Lutte contre la fraude aux aides publiques : les mesures relatives au label RGE
-
Actu - Fraude aux aides publiques : sanction en cas de non-immatriculation au RNE