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Présidée par l'Allemande Ursula von der Leyen (Parti populaire européen (PPE), droite conservatrice), la future Commission européenne doit entrer en fonction le 1er novembre 2019. D'ici là plusieurs étapes sont encore nécessaires à sa formation.
Le processus de renouvellement a commencé en juillet, au Parlement européen, avec l'élection de Mme von der Leyen à la tête de l'exécutif européen. Au mois d'août, les Etats membres ont ensuite eu pour tâche de désigner leurs candidats (un par Etat membre) pour constituer le collège de commissaires.
Au 30 août, seule l'Italie n'a pas encore annoncé de nom, son nouveau gouvernement étant en formation. Quant au Royaume-Uni, il a décidé de ne pas en proposer en raison de son départ de l'UE, prévu le 31 octobre.
Conformément à l'exigence d'Ursula von der Leyen, la composition finale de l'exécutif européen devrait atteindre la parité, ou du moins s'en rapprocher fortement.
Quand la liste des candidats au collège de commissaires sera définitive, la présidente de la Commission attribuera à chacun un portefeuille, à savoir un domaine d'action. Comme le commerce, les transports ou l'éducation, par exemple. Les portefeuilles devraient être connus d'ici à la mi-septembre au plus tard.
Les commissaires européens : nomination et attributions
Du 30 septembre au 8 octobre, les potentiels futurs membres de la Commission seront ensuite auditionnés par les députés au Parlement européen. A la suite de ces auditions, les eurodéputés auront la possibilité de faire connaître leur désapprobation à la nomination d'un ou de plusieurs candidats. Si ces derniers ne sont pas remplacés, les parlementaires pourront retoquer le collège de commissaires dans son ensemble. Le vote d'approbation, condition sine qua non à leur entrée en fonction, aura lieu pendant la session plénière du 21 au 24 octobre.
Toute l'Europe - Dossier complet - 2019-08-30
Le processus de renouvellement a commencé en juillet, au Parlement européen, avec l'élection de Mme von der Leyen à la tête de l'exécutif européen. Au mois d'août, les Etats membres ont ensuite eu pour tâche de désigner leurs candidats (un par Etat membre) pour constituer le collège de commissaires.
Au 30 août, seule l'Italie n'a pas encore annoncé de nom, son nouveau gouvernement étant en formation. Quant au Royaume-Uni, il a décidé de ne pas en proposer en raison de son départ de l'UE, prévu le 31 octobre.
Conformément à l'exigence d'Ursula von der Leyen, la composition finale de l'exécutif européen devrait atteindre la parité, ou du moins s'en rapprocher fortement.
Quand la liste des candidats au collège de commissaires sera définitive, la présidente de la Commission attribuera à chacun un portefeuille, à savoir un domaine d'action. Comme le commerce, les transports ou l'éducation, par exemple. Les portefeuilles devraient être connus d'ici à la mi-septembre au plus tard.
Les commissaires européens : nomination et attributions
Du 30 septembre au 8 octobre, les potentiels futurs membres de la Commission seront ensuite auditionnés par les députés au Parlement européen. A la suite de ces auditions, les eurodéputés auront la possibilité de faire connaître leur désapprobation à la nomination d'un ou de plusieurs candidats. Si ces derniers ne sont pas remplacés, les parlementaires pourront retoquer le collège de commissaires dans son ensemble. Le vote d'approbation, condition sine qua non à leur entrée en fonction, aura lieu pendant la session plénière du 21 au 24 octobre.
Toute l'Europe - Dossier complet - 2019-08-30
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