
Avec 14,7 °C à la surface du globe mesurés l’an dernier, 2018 est la quatrième année la plus chaude sur Terre, et la plus chaude en métropole, depuis que l’on mesure la température.
Et le territoire français n’est évidemment pas épargné par le phénomène puisque, selon les données fournies par l’institut Météo-France, l’année 2018 est la plus chaude jamais enregistrée sur le territoire métropolitain. Avec 13,9 oC, on est à 2,1 oC au-dessus des températures moyennes mesurées pendant la période comprise entre 1961 et 1990.
Des records partout dans l’Hexagone
Dans de nombreuses stations de mesure de Météo-France, 2018 ressort comme étant l’année la plus chaude jamais enregistrée. C’est le cas par exemple à Paris (avec une moyenne de 13,9 oC en 2018), Nice (17,2 oC), Le Mans (13,6 oC), Lille (12,2 oC) ou encore Bordeaux (15 oC) et Poitiers (13,4 oC).
Parmi les stations météo sur le territoire, certaines disposent de relevés très anciens. C’est le cas de villes comme Paris ou Besançon dont les mesures remontent à 1900. D’autres, comme Dunkerque, Marseille, Bordeaux, Clermont-Ferrand ou Lyon, proposent des relevés à partir des années 1920. D’autres, enfin, ne démarrent leurs mesures qu’à partir de la deuxième moitié de la décennie 1940, pour des raisons évidentes.
Le Monde - Article complet - 2019-02-06
Et le territoire français n’est évidemment pas épargné par le phénomène puisque, selon les données fournies par l’institut Météo-France, l’année 2018 est la plus chaude jamais enregistrée sur le territoire métropolitain. Avec 13,9 oC, on est à 2,1 oC au-dessus des températures moyennes mesurées pendant la période comprise entre 1961 et 1990.
Des records partout dans l’Hexagone
Dans de nombreuses stations de mesure de Météo-France, 2018 ressort comme étant l’année la plus chaude jamais enregistrée. C’est le cas par exemple à Paris (avec une moyenne de 13,9 oC en 2018), Nice (17,2 oC), Le Mans (13,6 oC), Lille (12,2 oC) ou encore Bordeaux (15 oC) et Poitiers (13,4 oC).
Parmi les stations météo sur le territoire, certaines disposent de relevés très anciens. C’est le cas de villes comme Paris ou Besançon dont les mesures remontent à 1900. D’autres, comme Dunkerque, Marseille, Bordeaux, Clermont-Ferrand ou Lyon, proposent des relevés à partir des années 1920. D’autres, enfin, ne démarrent leurs mesures qu’à partir de la deuxième moitié de la décennie 1940, pour des raisons évidentes.
Le Monde - Article complet - 2019-02-06
Dans la même rubrique
-
Doc - Protection de l'environnement : 6 milliards d'euros d'aides publiques
-
Actu - Comment anticiper les risques d’inondations ?
-
JORF - Avis sur les méthodes normalisées de référence pour les mesures dans l'air, l'eau et les sols dans les installations classées pour la protection de l'environnement
-
Actu - La France en première ligne pour améliorer la qualité de l'air sur ses façades maritimes
-
Actu - La France prépare son plan national "Agir pour restaurer la nature", et invite les français à participer à son élaboration à partir du 23 mai