
En 2020, 580 000 jeunes ont participé aux Quartiers d’été, soit un jeune sur trois vivant dans ces quartiers. Les élus locaux ont eux aussi plébiscité ce programme.
Le contexte sanitaire risque, cette année encore, de priver beaucoup d’habitants de vacances. C’est pourquoi ce dispositif est renouvelé en concertation avec les acteurs locaux.
Comment le dispositif va-t-il se déployer sur le territoire ?
Nous débloquons 50 millions d’euros pour que les collectivités et les associations, avec l’appui de l’ANCT, puissent à nouveau proposer des activités culturelles, sportives et de divertissement dans les 1 514 quartiers prioritaires de France. Ces activités doivent être un accélérateur de sortie de crise pour les habitants. Ceux-ci profiteront également des programmes portés par d’autres ministères, comme Vacances apprenantes, Été culturel…
Ce budget en hausse doit permettre de proposer aux familles des activités au moins de la même qualité qu’à l’été 2020. C’est au plus près du terrain que les budgets seront ensuite attribués, afin que les activités proposées correspondent aux attentes des habitants.
La mobilisation de l’ANCT sera déterminante, et je sais pouvoir compter sur l’expertise de l’ensemble de ses agents pour accompagner au mieux cette nouvelle édition.
Quelles sont vos attentes pour cette deuxième édition de quartiers d’été ?
Nous souhaitons que ces Quartiers d’été soient accessibles à toutes et tous et contribuent à restaurer le vivre-ensemble dans cette période de recrudescence des violences. Se cultiver, s’éduquer ou découvrir de nouvelles pratiques sportives dans son quartier sont autant de moments qui doivent permettre davantage de mixité sociale. Les petites filles et les femmes doivent pouvoir occuper davantage l’espace public. Quartiers d’été permet ainsi aux habitants de se rencontrer ou de se retrouver dans un cadre détendu et agréable.
Ces moments s’inscrivent également dans une logique de prévention contre les violences. Le désœuvrement est bien trop souvent à l’origine de violences, d’incivilités ou de dégradations. Et c’est d’autant plus le cas l’été. Proposer des activités variées, proches de chez soi, c’est une façon de rompre cet isolement.
En 2020, des activités proposées par les pompiers ou les services de police, comme l’initiation au secourisme, avaient aussi permis de créer du lien entre les institutions et les habitants
ANCT >> Communiqué complet
Le contexte sanitaire risque, cette année encore, de priver beaucoup d’habitants de vacances. C’est pourquoi ce dispositif est renouvelé en concertation avec les acteurs locaux.
Comment le dispositif va-t-il se déployer sur le territoire ?
Nous débloquons 50 millions d’euros pour que les collectivités et les associations, avec l’appui de l’ANCT, puissent à nouveau proposer des activités culturelles, sportives et de divertissement dans les 1 514 quartiers prioritaires de France. Ces activités doivent être un accélérateur de sortie de crise pour les habitants. Ceux-ci profiteront également des programmes portés par d’autres ministères, comme Vacances apprenantes, Été culturel…
Ce budget en hausse doit permettre de proposer aux familles des activités au moins de la même qualité qu’à l’été 2020. C’est au plus près du terrain que les budgets seront ensuite attribués, afin que les activités proposées correspondent aux attentes des habitants.
La mobilisation de l’ANCT sera déterminante, et je sais pouvoir compter sur l’expertise de l’ensemble de ses agents pour accompagner au mieux cette nouvelle édition.
Quelles sont vos attentes pour cette deuxième édition de quartiers d’été ?
Nous souhaitons que ces Quartiers d’été soient accessibles à toutes et tous et contribuent à restaurer le vivre-ensemble dans cette période de recrudescence des violences. Se cultiver, s’éduquer ou découvrir de nouvelles pratiques sportives dans son quartier sont autant de moments qui doivent permettre davantage de mixité sociale. Les petites filles et les femmes doivent pouvoir occuper davantage l’espace public. Quartiers d’été permet ainsi aux habitants de se rencontrer ou de se retrouver dans un cadre détendu et agréable.
Ces moments s’inscrivent également dans une logique de prévention contre les violences. Le désœuvrement est bien trop souvent à l’origine de violences, d’incivilités ou de dégradations. Et c’est d’autant plus le cas l’été. Proposer des activités variées, proches de chez soi, c’est une façon de rompre cet isolement.
En 2020, des activités proposées par les pompiers ou les services de police, comme l’initiation au secourisme, avaient aussi permis de créer du lien entre les institutions et les habitants
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