Les plaignants considèrent que ces plateformes ne respectent pas les obligations qui leur sont imposées par la loi, en ce qui concerne notamment la détention d’une carte professionnelle. Ils contestent également l'absence d'agrément pour les services de paiement, ainsi que l'offre de garanties financières émises par les plateformes, sans que ces dernières possèdent le statut d'assureur. Ils demandent donc à la justice de rétablir une égalité de traitement entre acteurs.
"Beaucoup de bailleurs se tournent vers les plateformes où ils louent leurs biens trois fois plus cher. Ils font grimper les prix et pénalisent les primo-accédants, détournent la destination de beaucoup d'immeubles au mépris des règlements de copropriété et fragilisent les commerces de proximité", déclare Jean-François Buet.
FNAIM - 2017-01-16
"Beaucoup de bailleurs se tournent vers les plateformes où ils louent leurs biens trois fois plus cher. Ils font grimper les prix et pénalisent les primo-accédants, détournent la destination de beaucoup d'immeubles au mépris des règlements de copropriété et fragilisent les commerces de proximité", déclare Jean-François Buet.
FNAIM - 2017-01-16
Dans la même rubrique
-
JORF - Actualisation du cadre réglementaire applicable aux opérateurs agréés chargés d’accompagner les ménages dans leurs projets de rénovation énergétique.
-
Actu - Le Fonds de logement intermédiaire III est lancé
-
Actu - 5 Md€ pour financer 75 000 places de logements étudiants
-
Actu - Logement étudiant en Île-de-France : répondre à l’urgence et aux attentes
-
Actu - Villes moyennes : les pistes pour accélérer leur rénovation