
Près de 20 % de ceux qui vivent dans un HLM ou dans un meublé, ainsi que 14 % des locataires d’un logement non meublé du parc privé sont concernés, contre une moyenne française de 8,2 % (au seuil de pauvreté de 50 % du niveau de vie médian).
Chez les propriétaires, le taux n’atteint que 2 % pour ceux qui ont des emprunts en cours et 4 % pour ceux qui ont achevé de rembourser leurs emprunts.
L’écart est considérable entre propriétaires et locataires, mais cette situation est logique : c’est le plus souvent la faiblesse des revenus qui conduit à rester locataire, alors que seuls des revenus stables et relativement élevés permettent d’emprunter. Le parc HLM a justement pour fonction de loger les ménages aux niveaux de vie les plus faibles. Cette situation illustre un phénomène qui démultiplie les inégalités
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Chez les propriétaires, le taux n’atteint que 2 % pour ceux qui ont des emprunts en cours et 4 % pour ceux qui ont achevé de rembourser leurs emprunts.
L’écart est considérable entre propriétaires et locataires, mais cette situation est logique : c’est le plus souvent la faiblesse des revenus qui conduit à rester locataire, alors que seuls des revenus stables et relativement élevés permettent d’emprunter. Le parc HLM a justement pour fonction de loger les ménages aux niveaux de vie les plus faibles. Cette situation illustre un phénomène qui démultiplie les inégalités
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