
Les sujets liés au vieillissement de la population doivent être traités non seulement du point de vue du logement et de l’habitat, de la ville, des territoires et de la mobilité, mais aussi sur un plan plus général : « Comment, demain, pourrais-je vieillir chez moi ? ».
Dans notre société, chaque individu sera à son tour atteint par le vieillissement et aspire à vivre heureux et en bonne santé le plus longtemps possible. Or, la crise sanitaire a montré une fois de plus à quel point nos concitoyens tiennent à cette solidarité intergénérationnelle, loin des clichés sur une prétendue guerre des générations. Plusieurs points doivent être pris en compte :
- La prise en compte de la longévité impose une prise de conscience collective dans le cadre de l’intérêt général.
- Vieillir chez soi suppose un logement adapté à ses fragilités présentes ou futures.
- Vivre chez soi suppose de bénéficier d’un quartier sécurisant, d’une ville bienveillante qui soient gages du maintien des liens sociaux.
- Vieillir chez soi suppose aussi des moyens adaptés de mobilités et de transports qui permettent que la vie à domicile ne se transforme pas en assignation à résidence.
- Vieillir chez soi suppose enfin de prendre en compte la « géographie du vieillissement » puisque nous ne vieillirons pas de la même façon selon l’environnement dans lequel nous évoluons (urbain, péri-urbain, rural, régions riches et jeunes, territoires âgés et dépeuplés…).
Au sommaire
- La longévité fait sa révolution
- Le choix de rester chez soi
- Un logement adapté pour les aidants et les professionnels
Fédération des EPL >> Note complète
Dans notre société, chaque individu sera à son tour atteint par le vieillissement et aspire à vivre heureux et en bonne santé le plus longtemps possible. Or, la crise sanitaire a montré une fois de plus à quel point nos concitoyens tiennent à cette solidarité intergénérationnelle, loin des clichés sur une prétendue guerre des générations. Plusieurs points doivent être pris en compte :
- La prise en compte de la longévité impose une prise de conscience collective dans le cadre de l’intérêt général.
- Vieillir chez soi suppose un logement adapté à ses fragilités présentes ou futures.
- Vivre chez soi suppose de bénéficier d’un quartier sécurisant, d’une ville bienveillante qui soient gages du maintien des liens sociaux.
- Vieillir chez soi suppose aussi des moyens adaptés de mobilités et de transports qui permettent que la vie à domicile ne se transforme pas en assignation à résidence.
- Vieillir chez soi suppose enfin de prendre en compte la « géographie du vieillissement » puisque nous ne vieillirons pas de la même façon selon l’environnement dans lequel nous évoluons (urbain, péri-urbain, rural, régions riches et jeunes, territoires âgés et dépeuplés…).
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