Dix maires de grandes villes de France, dont ceux de Rennes et Nantes, ont dénoncé, jeudi, la baisse prévue des places d’hébergement d’urgence pour les sans-abri, dans une lettre à la Première ministre Élisabeth Borne.
« Mises à la rue intolérables ». Dix maires de grandes villes de France ont dénoncé, jeudi, la baisse prévue des places d’hébergement d’urgence pour les sans-abri, dans une lettre à la Première ministre Élisabeth Borne.
« Alors que la situation requiert la création massive de solutions d’hébergement, les projets de loi de finances prévoient la suppression progressive de 14 000 places d’hébergement d’urgence en hôtels en France en 2022 et 2023 », écrivent les maires écologistes et socialistes.
« Or, si nous convenons que les nuitées hôtelières ne représentent des solutions ni pérennes ni qualitatives pour les personnes, nous constatons sur nos territoires que cette réduction de places n’est assortie d’aucune alternative viable », regrettent les édiles, dont la lettre a été communiquée à l’AFP par la mairie de Strasbourg.
Au sommaire de l’article
- « Les besoins restent importants »
- « Des conditions de vie parfaitement indignes »
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« Mises à la rue intolérables ». Dix maires de grandes villes de France ont dénoncé, jeudi, la baisse prévue des places d’hébergement d’urgence pour les sans-abri, dans une lettre à la Première ministre Élisabeth Borne.
« Alors que la situation requiert la création massive de solutions d’hébergement, les projets de loi de finances prévoient la suppression progressive de 14 000 places d’hébergement d’urgence en hôtels en France en 2022 et 2023 », écrivent les maires écologistes et socialistes.
« Or, si nous convenons que les nuitées hôtelières ne représentent des solutions ni pérennes ni qualitatives pour les personnes, nous constatons sur nos territoires que cette réduction de places n’est assortie d’aucune alternative viable », regrettent les édiles, dont la lettre a été communiquée à l’AFP par la mairie de Strasbourg.
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