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Actu - Salles de consommation à moindre risque : réponses à quelques idées reçues

(Article ID.CiTé/ID.Veille du 05/10/2021 )



Actu - Salles de consommation à moindre risque : réponses à quelques idées reçues
Les salles de consommation à moindre risque, improprement appelées «salles de shoot», sont dans l’actualité… et font souvent l’objet de rumeurs et idées reçues. Pour vous aider à y voir plus clair, la Fédération Addiction vous propose quelques explications.

Les salles de consommation à moindre risque (SCMR) ont été autorisées par la loi en 2016. Il en existe actuellement deux en France : une à Paris et l’autre à Strasbourg. Des haltes soins addiction  prendront leur suite dans quelques mois.

Alors que la consommation de crack à Paris  est de nouveau dans l’actualité, beaucoup d’idées circulent sur ces dispositifs. Afin d’y voir plus clair et que les débats puissent avoir lieu sur la base des faits et non de rumeurs, la Fédération Addiction répond à quelques-unes des idées reçues sur la question.

Questions :
 - Les salles de consommation à moindre risque sont des “salles de shoot"?
 - La création d’une salle de consommation à moindre risque entraine l’installation de toxicomanes dans le quartier ?
 - Les salles de consommation à moindre risque poussent les consommateurs à continuer à prendre des drogues plutôt qu’à arrêter ?
 - Plutôt qu’accompagner la consommation de drogue, il faudrait forcer les toxicomanes à se sevrer ?
 - L’installation d’une salle de consommation à moindre de risque dans un quartier y entraine une hausse de la délinquance ?
 - Il existe un périmètre de 300 mètres autour d’une salle de consommation où la police ne peut pas intervenir sur les trafics ?
 - Il faut implanter les salles de consommation à moindre risque loin des quartiers résidentiels ?

Fédération Addiction >> Analyse complèt e

 











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