
Les facteurs comportementaux et culturels restent relativement sous-utilisés au service de la santé mondiale. En s’appuyant sur des domaines extérieurs à la médecine, comme les sciences sociales et les sciences humaines (anthropologie, histoire, sociologie et psychologie, entre autres), il est possible de préparer des interventions sanitaires plus efficaces.
Une nouvelle unité à l’OMS/Europe
Consciente qu’en termes de politiques de santé, une approche universelle n’est pas toujours la plus efficace, l’OMS/Europe a identifié la connaissance des facteurs comportementaux et culturels comme un domaine phare pour la Région dans les années à venir. Elle a créé l’unité de la connaissance pour collaborer avec les partenaires dans l’ensemble des secteurs, des disciplines universitaires et des domaines techniques. L’unité est régie par quatre principes fondamentaux :
- les bases factuelles : s’appuyer sur les données factuelles, les tester et les évaluer, et divulguer les bonnes pratiques ;
- le contexte : générer des connaissances sanitaires nuancées du point de vue social, sensibles aux aspects culturels et orientées sur la personne ;
- l’échelle : soutenir l’intensification des interventions dont l’incidence positive est prouvée ; et
- les partenariats : travailler avec les experts, les acteurs du changement, les collègues et les critiques.
L’unité œuvre à identifier les obstacles aux pratiques saines, ainsi que leurs moteurs. Les occasions d’encourager les programmes et les autorités de santé nationaux à utiliser ces connaissances pour mettre au point des interventions sanitaires plus efficaces en garantissant leur pertinence à l’égard des populations ciblées ne manquent pas.
Les facteurs comportementaux et culturels dans la pratique
D’un point à l’autre de la Région européenne, de nombreux exemples témoignent de l’utilisation concrète des facteurs comportementaux et culturels.
OMS - Analyse complète - 2020-08-19
Une nouvelle unité à l’OMS/Europe
Consciente qu’en termes de politiques de santé, une approche universelle n’est pas toujours la plus efficace, l’OMS/Europe a identifié la connaissance des facteurs comportementaux et culturels comme un domaine phare pour la Région dans les années à venir. Elle a créé l’unité de la connaissance pour collaborer avec les partenaires dans l’ensemble des secteurs, des disciplines universitaires et des domaines techniques. L’unité est régie par quatre principes fondamentaux :
- les bases factuelles : s’appuyer sur les données factuelles, les tester et les évaluer, et divulguer les bonnes pratiques ;
- le contexte : générer des connaissances sanitaires nuancées du point de vue social, sensibles aux aspects culturels et orientées sur la personne ;
- l’échelle : soutenir l’intensification des interventions dont l’incidence positive est prouvée ; et
- les partenariats : travailler avec les experts, les acteurs du changement, les collègues et les critiques.
L’unité œuvre à identifier les obstacles aux pratiques saines, ainsi que leurs moteurs. Les occasions d’encourager les programmes et les autorités de santé nationaux à utiliser ces connaissances pour mettre au point des interventions sanitaires plus efficaces en garantissant leur pertinence à l’égard des populations ciblées ne manquent pas.
Les facteurs comportementaux et culturels dans la pratique
D’un point à l’autre de la Région européenne, de nombreux exemples témoignent de l’utilisation concrète des facteurs comportementaux et culturels.
OMS - Analyse complète - 2020-08-19
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