
Dans un contexte d’amélioration générale de l’habitat, les conditions de logement des ménages à bas revenus restent moins bonnes que celles des ménages plus aisés, quel que soit le critère de confort retenu.
L’écart entre la part des ménages à bas revenus disposant du confort de base (confort sanitaire et présence d’un chauffage central) et cette même part pour les ménages plus aisés s’est nettement réduit. De 17 points en 1996, l’écart n’est plus que de 5 points en 2013. En 2013, 89 % des ménages à bas revenus vivent dans un logement disposant de ce niveau de confort.
À l’inverse, les inégalités face au bruit se creusent, même si les nuisances sonores sont globalement en recul.
Les problèmes d’humidité, d’infiltrations d’eau, de sécurité et de qualité de l’air, tendent, comme pour les autres types de nuisances, à être moins fréquents. En revanche, les inégalités liées à ces difficultés entre ménages à bas revenus et ménages plus aisés perdurent. Le constat est le même pour le taux de surpeuplement. L’écart entre les ménages plus aisés et les ménages à bas revenus est très marqué (16 points). Il n’a baissé que d’un point entre 1996 et 2013, en raison d’une légère hausse du surpeuplement pour les ménages à bas revenus entre 2006 et 2013.
DREES - Études et Résultats n°1069 - 2018-06-22
L’écart entre la part des ménages à bas revenus disposant du confort de base (confort sanitaire et présence d’un chauffage central) et cette même part pour les ménages plus aisés s’est nettement réduit. De 17 points en 1996, l’écart n’est plus que de 5 points en 2013. En 2013, 89 % des ménages à bas revenus vivent dans un logement disposant de ce niveau de confort.
À l’inverse, les inégalités face au bruit se creusent, même si les nuisances sonores sont globalement en recul.
Les problèmes d’humidité, d’infiltrations d’eau, de sécurité et de qualité de l’air, tendent, comme pour les autres types de nuisances, à être moins fréquents. En revanche, les inégalités liées à ces difficultés entre ménages à bas revenus et ménages plus aisés perdurent. Le constat est le même pour le taux de surpeuplement. L’écart entre les ménages plus aisés et les ménages à bas revenus est très marqué (16 points). Il n’a baissé que d’un point entre 1996 et 2013, en raison d’une légère hausse du surpeuplement pour les ménages à bas revenus entre 2006 et 2013.
DREES - Études et Résultats n°1069 - 2018-06-22
Dans la même rubrique
-
Actu - Observatoire national des impayés de loyer et de charges locatives : Valérie Létard mobilise les acteurs pour mieux accompagner les ménages fragiles
-
RM - Identité des occupants sans droits ni titres
-
Parl. - Suivi du plan d’action autour du DPE - Diagnostic de performance énergétique : Valérie Létard lance une mission parlementaire pour réfléchir à un ordre des diagnostiqueurs
-
Doc - Connaître les propriétaires du parc locatif privé et leur patrimoine pour mieux adresser les dispositifs en matière de rénovation énergétique
-
Actu - MaPrimeRénov’ : Valérie Létard salue un premier trimestre 2025 dynamique et appelle à renforcer la qualité de l’accompagnement des ménages