L’Agence nationale des fréquences (ANFR) a réalisé de nouvelles mesures de champs électromagnétiques créés par les compteurs Linky, qui viennent compléter celles effectuées en laboratoire et publiées en mai 2016. Les nouveaux résultats, y compris ceux relevés chez des particuliers, confirment des niveaux d’exposition très faibles.
Pour mémoire, le premier volet de l’étude publié en mai 2016 a mis en évidence en laboratoire des niveaux très faibles d’exposition lorsqu’un compteur électrique Linky échange des informations périodiques de surveillance de réseau avec un concentrateur situé dans les transformateurs de quartiers.
Deux nouvelles séries de mesures viennent compléter cette étude , réalisées :
- toujours en laboratoire, sur l’exposition créée lors de la collecte des informations de consommation (index) qui, en exploitation, a lieu pendant la nuit (volet 2) ;
- chez des particuliers, à proximité de 5 compteurs Linky en fonctionnement durant la journée (volet 3).
Le deuxième volet de l’étude montre que les niveaux d’exposition créés lors de la collecte des index en laboratoire sont comparables à ceux présentés dans le volet 1. Ces niveaux sont très en-dessous des valeurs limites réglementaires.
Le troisième volet de l’étude, réalisé dans les habitations de particuliers, a conduit aux résultats suivants :
- les niveaux de champs électriques mesurés in situ varient entre 0,25 et 0,8 V/m à 20 cm des compteurs en émission CPL, c’est-à-dire grâce aux courants porteurs en ligne. Ces niveaux se situent entre 100 et 350 fois sous la valeur limite réglementaire de 87 V/m dans la bande de fréquence utilisée par Linky (35-91 kHz) ;
- les niveaux de champs magnétiques mesurés in situ varient entre 0,01 µT et 0,03 µT à 20 cm des compteurs en émission CPL. Ces niveaux se situent entre 200 et 600 fois sous la valeur limite réglementaire de 6,25 µT dans cette bande de fréquence. Ces faibles niveaux d’exposition relevés en laboratoire et chez des particuliers confirment que la transmission des signaux CPL utilisés par le Linky ne conduit pas à une augmentation significative du niveau de champ électromagnétique ambiant.
Médiateur de l'Energie - 2016-09-22
Pour mémoire, le premier volet de l’étude publié en mai 2016 a mis en évidence en laboratoire des niveaux très faibles d’exposition lorsqu’un compteur électrique Linky échange des informations périodiques de surveillance de réseau avec un concentrateur situé dans les transformateurs de quartiers.
Deux nouvelles séries de mesures viennent compléter cette étude , réalisées :
- toujours en laboratoire, sur l’exposition créée lors de la collecte des informations de consommation (index) qui, en exploitation, a lieu pendant la nuit (volet 2) ;
- chez des particuliers, à proximité de 5 compteurs Linky en fonctionnement durant la journée (volet 3).
Le deuxième volet de l’étude montre que les niveaux d’exposition créés lors de la collecte des index en laboratoire sont comparables à ceux présentés dans le volet 1. Ces niveaux sont très en-dessous des valeurs limites réglementaires.
Le troisième volet de l’étude, réalisé dans les habitations de particuliers, a conduit aux résultats suivants :
- les niveaux de champs électriques mesurés in situ varient entre 0,25 et 0,8 V/m à 20 cm des compteurs en émission CPL, c’est-à-dire grâce aux courants porteurs en ligne. Ces niveaux se situent entre 100 et 350 fois sous la valeur limite réglementaire de 87 V/m dans la bande de fréquence utilisée par Linky (35-91 kHz) ;
- les niveaux de champs magnétiques mesurés in situ varient entre 0,01 µT et 0,03 µT à 20 cm des compteurs en émission CPL. Ces niveaux se situent entre 200 et 600 fois sous la valeur limite réglementaire de 6,25 µT dans cette bande de fréquence. Ces faibles niveaux d’exposition relevés en laboratoire et chez des particuliers confirment que la transmission des signaux CPL utilisés par le Linky ne conduit pas à une augmentation significative du niveau de champ électromagnétique ambiant.
Médiateur de l'Energie - 2016-09-22
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