
- Les 27% qui ont choisi l’énergie sont plutôt des hommes, de catégorie socioprofessionnelle supérieure, propriétaires de maison dans des villes de taille moyenne.
- Les 51 % ayant choisi la consommation sont plutôt des femmes d’âge avancé, de catégorie socioprofessionnelle inférieure et habitant en zone rurale.
- Enfin, les 22% ayant choisi la mobilité sont plutôt des jeunes hommes urbains, locataires d’appartement, de catégorie socioprofessionnelle supérieure.
Privilégier les visuels qui offrent un univers émotionnel large, et adapter les émotions à son audience
3 types de public "Comsom’acteur ", "ambassadeur " et "modéré " sont plus ou moins sensibles aux émotions positives et négatives générées pas les visuels (joie, tristesse, colère…). Plus le public est engagé, plus la palette d’émotions à laquelle il est sensible est large et négative. Les visuels de solutions ont tendance à susciter l’intérêt, la joie, la surprise. Les visuels de causes et conséquences ont tendance à susciter la colère, la peur, la tristesse, le mépris, le dégout, la culpabilité.
Les émotions suscitées ont un lien direct avec l’envie d’agir déclenchée par un visuel et le type et la variété d’émotions diffusées engendre des incitations différentes.
Il est utile de respecter certaines règles en fonction de l’émetteur que l’on incarne (Institution publique nationale, locale, structure privée, associations et ONG) au yeux du grand public.
ADEME - 2017-09-06
- Les 51 % ayant choisi la consommation sont plutôt des femmes d’âge avancé, de catégorie socioprofessionnelle inférieure et habitant en zone rurale.
- Enfin, les 22% ayant choisi la mobilité sont plutôt des jeunes hommes urbains, locataires d’appartement, de catégorie socioprofessionnelle supérieure.
Privilégier les visuels qui offrent un univers émotionnel large, et adapter les émotions à son audience
3 types de public "Comsom’acteur ", "ambassadeur " et "modéré " sont plus ou moins sensibles aux émotions positives et négatives générées pas les visuels (joie, tristesse, colère…). Plus le public est engagé, plus la palette d’émotions à laquelle il est sensible est large et négative. Les visuels de solutions ont tendance à susciter l’intérêt, la joie, la surprise. Les visuels de causes et conséquences ont tendance à susciter la colère, la peur, la tristesse, le mépris, le dégout, la culpabilité.
Les émotions suscitées ont un lien direct avec l’envie d’agir déclenchée par un visuel et le type et la variété d’émotions diffusées engendre des incitations différentes.
Il est utile de respecter certaines règles en fonction de l’émetteur que l’on incarne (Institution publique nationale, locale, structure privée, associations et ONG) au yeux du grand public.
ADEME - 2017-09-06
Dans la même rubrique
-
Actu - Mission Nature : une édition 2025 dédiée à la protection de la biodiversité marine et littorale
-
Actu - Protection des océans : Mercator Ocean est devenu un champion européen de la modélisation de l'océan et des prévisions marines
-
Actu - Présence d’amiante dans 16 carrières françaises : les services de l’Etat ont demandé aux professionnels de mettre en œuvre des mesures de protection des travailleurs, de l’environnement, de la population et des consommateurs
-
JORF - Reconnaissance ou non de l'état de catastrophe naturelle - Séismes, mouvements de terrain, inondations et coulées de boue, inondations par remontée de nappes phréatiques et vents cycloniques 2021-2023-2024-2025
-
Actu - Territoires adaptés au climat de demain : un collectif est né, avec, déjà, des pistes de transformation