
AMF - Donner au grand débat une perspective et des objectifs
Réunis le 23 janvier en Comité directeur, dont les présidents d’associations départementales de maires sont membres, les élus de l’AMF réaffirment que, face à la crise démocratique et sociale inédite que connaît notre pays, les maires de France prennent toute leur part dans le débat organisé par l’Etat dans les territoires, avec le sens de l’intérêt général et l’esprit de responsabilité qui les caractérisent.
Les maires le font en toute liberté et selon les modalités qu’ils jugent les plus appropriées : facilitateurs de l’organisation matérielle, contributeurs au débat. Cependant, ils ne sauraient porter la responsabilité des réponses qui seront présentées aux Français.
Les maires de France rappellent qu’ils sont à la disposition de leurs administrés pour faire remonter dans le cadre de ce grand débat l’ensemble des préoccupations et revendications exprimées. C’est l’essence même du mandat de maire.
L’AMF se réjouit que le président de la République, Emmanuel Macron et le gouvernement reconnaissent le rôle essentiel des maires et des communes dans le débat démocratique.
Pour que ce débat soit utile à la France, le président de la République et le gouvernement doivent lui donner une perspective et des objectifs afin de ne pas décevoir les espoirs qu’il suscite.
C’est pourquoi l’AMF, l’ADF et Régions de France, au sein de Territoires Unis, proposent qu’à l’issue du débat s’ouvre une véritable négociation au sein d’une conférence sociale et territoriale associant les partenaires sociaux et les représentants des collectivités territoriales. C’est dans ce cadre que pourront être partagées les attentes et les propositions formulées dans leur diversité par les Français.
Leurs préoccupations d’aujourd’hui rejoignent ce que l’AMF a exprimé de longue date.
L’AMF réitère sa demande, faite au gouvernement à l’issue de son dernier congrès, d’ouvrir une négociation sur l’ensemble des points contenus dans sa résolution générale et réaffirme sa disponibilité à l’égard du président de la République pour préparer cette conférence qu’elle appelle de ses vœux.
AMF - Communiqué - 2019-01-24
APVF : notre Contribution à la réduction des fractures territoriales et sociales
L’Association des Petites Villes de France a présenté le 16 janvier 2019, dans le cadre du grand débat national lancé par le Président de le République et le Gouvernement, sa propre contribution à la réduction des fractures territoriales et sociales dans notre pays.
Le mouvement actuel des "Gilets Jaunes" a remis au premier plan, outre l’urgence sociale, l’urgence territoriale avec l’accroissement depuis de nombreuses années maintenant de la fracture territoriale.
Les Maires des petites villes seront partout dans les territoires des facilitateurs de l’organisation des débats. Il n’en seront pas les co-organisateurs car ils ne sauraient être tenus pour responsables de décisions qui leur ont été imposées toutes ces années (baisse unilatérale des dotations, baisse drastique des contrats aidés, disparition des services publics dans certains zones de nos territoires) et qui sont en partie à l’origine de la crise actuelle.
L’APVF présente donc 12 grandes propositions relatives à la mobilité durable, à la transition écologique, à la lutte contre la désertification médicale qui doit devenir une priorité nationale, à la revitalisation des centres-villes et enfin en faveur d’une nouvelle solidarité territoriale.
L’APVF propose en effet la création d’un "Fonds de solidarité territoriale" alimenté par les métropoles, par l’Etat et par l’Europe, ciblé en direction des territoires les plus fragiles dans chaque région.
Il est plus que temps que les principaux gagnants de la métropolisation participent au développement du reste du territoire.
L’APVF adressera sa contribution au Grand débat au Président de la République, au Premier ministre et aux Président des deux assemblées.
APVF - Communiqué - 2019-01-24
Réunis le 23 janvier en Comité directeur, dont les présidents d’associations départementales de maires sont membres, les élus de l’AMF réaffirment que, face à la crise démocratique et sociale inédite que connaît notre pays, les maires de France prennent toute leur part dans le débat organisé par l’Etat dans les territoires, avec le sens de l’intérêt général et l’esprit de responsabilité qui les caractérisent.
Les maires le font en toute liberté et selon les modalités qu’ils jugent les plus appropriées : facilitateurs de l’organisation matérielle, contributeurs au débat. Cependant, ils ne sauraient porter la responsabilité des réponses qui seront présentées aux Français.
Les maires de France rappellent qu’ils sont à la disposition de leurs administrés pour faire remonter dans le cadre de ce grand débat l’ensemble des préoccupations et revendications exprimées. C’est l’essence même du mandat de maire.
L’AMF se réjouit que le président de la République, Emmanuel Macron et le gouvernement reconnaissent le rôle essentiel des maires et des communes dans le débat démocratique.
Pour que ce débat soit utile à la France, le président de la République et le gouvernement doivent lui donner une perspective et des objectifs afin de ne pas décevoir les espoirs qu’il suscite.
C’est pourquoi l’AMF, l’ADF et Régions de France, au sein de Territoires Unis, proposent qu’à l’issue du débat s’ouvre une véritable négociation au sein d’une conférence sociale et territoriale associant les partenaires sociaux et les représentants des collectivités territoriales. C’est dans ce cadre que pourront être partagées les attentes et les propositions formulées dans leur diversité par les Français.
Leurs préoccupations d’aujourd’hui rejoignent ce que l’AMF a exprimé de longue date.
L’AMF réitère sa demande, faite au gouvernement à l’issue de son dernier congrès, d’ouvrir une négociation sur l’ensemble des points contenus dans sa résolution générale et réaffirme sa disponibilité à l’égard du président de la République pour préparer cette conférence qu’elle appelle de ses vœux.
AMF - Communiqué - 2019-01-24
APVF : notre Contribution à la réduction des fractures territoriales et sociales
L’Association des Petites Villes de France a présenté le 16 janvier 2019, dans le cadre du grand débat national lancé par le Président de le République et le Gouvernement, sa propre contribution à la réduction des fractures territoriales et sociales dans notre pays.
Le mouvement actuel des "Gilets Jaunes" a remis au premier plan, outre l’urgence sociale, l’urgence territoriale avec l’accroissement depuis de nombreuses années maintenant de la fracture territoriale.
Les Maires des petites villes seront partout dans les territoires des facilitateurs de l’organisation des débats. Il n’en seront pas les co-organisateurs car ils ne sauraient être tenus pour responsables de décisions qui leur ont été imposées toutes ces années (baisse unilatérale des dotations, baisse drastique des contrats aidés, disparition des services publics dans certains zones de nos territoires) et qui sont en partie à l’origine de la crise actuelle.
L’APVF présente donc 12 grandes propositions relatives à la mobilité durable, à la transition écologique, à la lutte contre la désertification médicale qui doit devenir une priorité nationale, à la revitalisation des centres-villes et enfin en faveur d’une nouvelle solidarité territoriale.
L’APVF propose en effet la création d’un "Fonds de solidarité territoriale" alimenté par les métropoles, par l’Etat et par l’Europe, ciblé en direction des territoires les plus fragiles dans chaque région.
Il est plus que temps que les principaux gagnants de la métropolisation participent au développement du reste du territoire.
L’APVF adressera sa contribution au Grand débat au Président de la République, au Premier ministre et aux Président des deux assemblées.
APVF - Communiqué - 2019-01-24
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