
Les niveaux sont en hausse sur les nappes réactives et les secteurs les plus arrosés tandis que les niveaux des nappes inertielles et des secteurs en déficits pluviométriques sont toujours en baisse ou se stabilisent.
La situation au mois d’octobre est satisfaisante sur une grande partie ouest du territoire. Sur ce secteur, le bénéfice de la recharge abondante de l’hiver dernier se ressent toujours, auquel s’ajoutent les apports de ce début de recharge. Les niveaux des nappes sont particulièrement hauts dans le bassin Adour-Garonne et en Bretagne.
La situation des nappes reste dégradée dans l’est. Les niveaux sont bas à très bas dans les régions Grand-Est, Bourgogne-Franche-Comté, Auvergne-Rhône-Alpes et en Limousin. La recharge a cependant débuté et la situation s’améliore lentement.
En cette fin d’année, les tendances dépendront de la pluviométrie. La recharge devrait se généraliser à l’ensemble des nappes et la situation s’améliorer.
Tendances d’évolution
Le mois d’octobre 2020 est une période de transition pour les nappes. Les précipitations importantes de fin septembre et d’octobre et la mise en dormance de la végétation permettent une infiltration en profondeur des eaux.
Cela se traduit sur les niveaux des nappes par une inversion des tendances, 23 des 31 indicateurs étant en hausse ou stables.
La période de recharge a débuté entre fin septembre et courant octobre sur une grande partie des nappes. Les niveaux sont ainsi en hausse sur les nappes du Massif armoricain, du bassin Adour-Garonne, du Massif central, de Lorraine, des couloirs de la Saône et du Rhône amont, du Roussillon, de l’est de la Provence et de la Corse. Le début de la recharge a été très excédentaire par rapport à la moyenne notamment en Bretagne et Adour-Garonne.
Concernant les nappes de la Beauce, du Bassin parisien et d’Artois-Picardie, la vidange se poursuit. Ces constats s’expliquent par l’inertie importante des nappes de ces secteurs. Les eaux infiltrées suite aux pluies importantes n’ont pas encore eu le temps d’atteindre les nappes. Cependant, les baisses de niveaux s’atténuent et le début de la recharge semble s’amorcer dans certains secteurs.
Enfin, les niveaux sont stables sur les secteurs ayant accusé des déficits pluviométriques, sur le pourtour méditerranéen, du Languedoc à l’ouest de la Provence et jusqu’au couloir du Rhône aval et moyen.
BRGM - Note complète
La situation au mois d’octobre est satisfaisante sur une grande partie ouest du territoire. Sur ce secteur, le bénéfice de la recharge abondante de l’hiver dernier se ressent toujours, auquel s’ajoutent les apports de ce début de recharge. Les niveaux des nappes sont particulièrement hauts dans le bassin Adour-Garonne et en Bretagne.
La situation des nappes reste dégradée dans l’est. Les niveaux sont bas à très bas dans les régions Grand-Est, Bourgogne-Franche-Comté, Auvergne-Rhône-Alpes et en Limousin. La recharge a cependant débuté et la situation s’améliore lentement.
En cette fin d’année, les tendances dépendront de la pluviométrie. La recharge devrait se généraliser à l’ensemble des nappes et la situation s’améliorer.
Tendances d’évolution
Le mois d’octobre 2020 est une période de transition pour les nappes. Les précipitations importantes de fin septembre et d’octobre et la mise en dormance de la végétation permettent une infiltration en profondeur des eaux.
Cela se traduit sur les niveaux des nappes par une inversion des tendances, 23 des 31 indicateurs étant en hausse ou stables.
La période de recharge a débuté entre fin septembre et courant octobre sur une grande partie des nappes. Les niveaux sont ainsi en hausse sur les nappes du Massif armoricain, du bassin Adour-Garonne, du Massif central, de Lorraine, des couloirs de la Saône et du Rhône amont, du Roussillon, de l’est de la Provence et de la Corse. Le début de la recharge a été très excédentaire par rapport à la moyenne notamment en Bretagne et Adour-Garonne.
Concernant les nappes de la Beauce, du Bassin parisien et d’Artois-Picardie, la vidange se poursuit. Ces constats s’expliquent par l’inertie importante des nappes de ces secteurs. Les eaux infiltrées suite aux pluies importantes n’ont pas encore eu le temps d’atteindre les nappes. Cependant, les baisses de niveaux s’atténuent et le début de la recharge semble s’amorcer dans certains secteurs.
Enfin, les niveaux sont stables sur les secteurs ayant accusé des déficits pluviométriques, sur le pourtour méditerranéen, du Languedoc à l’ouest de la Provence et jusqu’au couloir du Rhône aval et moyen.
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