
Les communes de moins de 500 habitants regroupent la moitié des communes, 32 % du territoire et seulement 6 % de la population, quasi exclusivement en milieu rural.
Elles sont très rares dans l’Ouest, sur la côte méditerranéenne et dans les DOM. Elles sont très présentes dans la diagonale qui va de l’est de la France aux Pyrénées en passant par le Massif central, et aussi en zone de montagne.
Les communes de moins de 100 habitants ne sont pas les plus en difficulté.
Elles ont les plus fortes dépenses par habitant, mais ce sont aussi celles qui dégagent la plus forte épargne brute par habitant, qui investissent plus, tout en maintenant une meilleure situation d’endettement que les plus grandes communes (parmi celles de moins de 500 habitants).
L'étude présente une classification des 17000 communes de moins de 500 habitants, en plusieurs groupes aux profils très différents. Cette classification s'appuie sur l'analyse des volumes budgétaires et des ratios financiers des communes.
Elle montre que certaines difficultés financières sont en fait parfois transitoires, et que les communes qui fusionnent ne le font pas pour tenter d’améliorer leur situation financière, par exemple en réalisant des économies d’échelle pour réduire leurs dépenses de fonctionnement. Elles fusionnent pour investir, en s’appuyant pour cela sur une situation financière déjà saine.
DGCL>> Bulletin d'Information Statistique BIS n°149
Elles sont très rares dans l’Ouest, sur la côte méditerranéenne et dans les DOM. Elles sont très présentes dans la diagonale qui va de l’est de la France aux Pyrénées en passant par le Massif central, et aussi en zone de montagne.
Les communes de moins de 100 habitants ne sont pas les plus en difficulté.
Elles ont les plus fortes dépenses par habitant, mais ce sont aussi celles qui dégagent la plus forte épargne brute par habitant, qui investissent plus, tout en maintenant une meilleure situation d’endettement que les plus grandes communes (parmi celles de moins de 500 habitants).
L'étude présente une classification des 17000 communes de moins de 500 habitants, en plusieurs groupes aux profils très différents. Cette classification s'appuie sur l'analyse des volumes budgétaires et des ratios financiers des communes.
Elle montre que certaines difficultés financières sont en fait parfois transitoires, et que les communes qui fusionnent ne le font pas pour tenter d’améliorer leur situation financière, par exemple en réalisant des économies d’échelle pour réduire leurs dépenses de fonctionnement. Elles fusionnent pour investir, en s’appuyant pour cela sur une situation financière déjà saine.
DGCL>> Bulletin d'Information Statistique BIS n°149
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