Un an après que l’Etat se soit désisté de son appel d’une décision le condamnant à trouver une place dans un établissement adapté aux besoins d’Amélie, jeune femme handicapée mentale, aucune mesure concrète n’a été prise par le gouvernement pour mettre fin à la situation dramatique de milliers de personnes handicapées sans solution.
Face à la pression médiatique, le gouvernement avait pourtant renoncé à son appel et s’était engagé à mettre en place des cellules de gestion des situations critiques. Il avait également demandé à Monsieur Denis PIVETEAU, conseiller d’Etat, de lui rendre un rapport afin de lui proposer des préconisations pour mettre fin à la situation de ces personnes handicapées qualifiées de "sans solution".
Compte-tenu de ces engagements, l’Unapei avait suspendu toutes les actions en justice concernant des personnes confrontées à des situations identiques à celle d’Amélie et de sa famille.
Un an après, le bilan est édifiant…
UNAPEI - 2014-10-23
http://www.unapei.org/IMG/pdf/2014_10_23cpunapei_anniversairealoquet.pdf
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