L'avocate, qui représente 120 parties civiles, s'est attachée, hier, à gommer la responsabilité de l'État. Pour mieux reporter la responsabilité du drame sur l'ancien maire et son adjointe.
Elle parle clair. Sans effet de manche. Demande d'ailleurs à rester à son pupitre. Beaucoup plus pratique pour consulter quantité de feuillets noircis de références et de jurisprudence. La plaidoirie de Corinne Lepage commence par baliser le terrain. "Ce procès, ce n'est pas le procès de tous les maires de France. C'est seulement un cas de très mauvaise école..."
RP - Ouest France - 2014-10-14
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