
Dans un contexte réglementaire de plus en plus fort (Loi AGEC, loi Climat Résilience, Directive Européenne sur le Devoir de Vigilance…), les organisations privées comme publiques structurent de plus en plus leurs démarches Achats Responsables et gagnent en maturité. Cependant les outils de maitrise des enjeux et d’impacts positifs ne sont pas encore généralisés.
Si les organisations s’engagent davantage, le frein principal ne réside plus dans les objectifs contradictoires ou le manque de portage, mais bien dans le besoin de renforcer les ressources et le niveau d’expertise en interne sur les achats responsables.
Ce baromètre annuel repose sur un sondage effectué entre novembre et décembre 2021. 254 organisations y ont répondu (60% du secteur privé et 40% issues du secteur public).
65% des répondants font partie de la fonction achats et près de 23% des répondants sont issus de la Direction RSE ou de la direction de l’entreprise.
L’édition 2022 apporte un éclairage sur la manière dont les organisations s’intéressent et mettent en œuvre les achats responsables, qu’elles soient publiques ou privées.
78% des répondants ont mis en place une stratégie Achats Responsables, dont 15% depuis moins de 2 ans. « La tendance observée année après année se renforce. La démarche des Achats Responsables trouve sa place dans un plus grand nombre d’organisations », selon Pierre Pelouzet, Président de l’ObsAR.
Des actions achats responsables stimulées par la réglementation et le contexte socio-économique.
L’éthique de l’organisation, l’alignement avec sa raison d’être et la réponse aux attentes des clients/ consommateurs sont les 3 principales raisons de l’engagement des organisations privées dans une démarche achats responsables. Côté public, la réglementation et les politiques publiques sont les raisons majeures de l’engagement. « A contrario, la sécurisation des chaines d’approvisionnement est l’une des dernières raisons évoquées, à la fois pour le public et le privé. Cela risque de générer des difficultés pour les organisations achats dans le contexte réglementaire actuel » déclare Pierre Quesada, Secrétaire Général de l’ObsAR.
Dans le déploiement des actions, les organisations identifient les enjeux, mais l’étape de formalisation de ces enjeux sous la forme d’une cartographie des risques est encore insuffisante. Selon l’ISO 20400, cette cartographie est un point central pour crédibiliser la démarche achats responsables…
OBSAR >> Le baromètre
Si les organisations s’engagent davantage, le frein principal ne réside plus dans les objectifs contradictoires ou le manque de portage, mais bien dans le besoin de renforcer les ressources et le niveau d’expertise en interne sur les achats responsables.
Ce baromètre annuel repose sur un sondage effectué entre novembre et décembre 2021. 254 organisations y ont répondu (60% du secteur privé et 40% issues du secteur public).
65% des répondants font partie de la fonction achats et près de 23% des répondants sont issus de la Direction RSE ou de la direction de l’entreprise.
L’édition 2022 apporte un éclairage sur la manière dont les organisations s’intéressent et mettent en œuvre les achats responsables, qu’elles soient publiques ou privées.
78% des répondants ont mis en place une stratégie Achats Responsables, dont 15% depuis moins de 2 ans. « La tendance observée année après année se renforce. La démarche des Achats Responsables trouve sa place dans un plus grand nombre d’organisations », selon Pierre Pelouzet, Président de l’ObsAR.
Des actions achats responsables stimulées par la réglementation et le contexte socio-économique.
L’éthique de l’organisation, l’alignement avec sa raison d’être et la réponse aux attentes des clients/ consommateurs sont les 3 principales raisons de l’engagement des organisations privées dans une démarche achats responsables. Côté public, la réglementation et les politiques publiques sont les raisons majeures de l’engagement. « A contrario, la sécurisation des chaines d’approvisionnement est l’une des dernières raisons évoquées, à la fois pour le public et le privé. Cela risque de générer des difficultés pour les organisations achats dans le contexte réglementaire actuel » déclare Pierre Quesada, Secrétaire Général de l’ObsAR.
Dans le déploiement des actions, les organisations identifient les enjeux, mais l’étape de formalisation de ces enjeux sous la forme d’une cartographie des risques est encore insuffisante. Selon l’ISO 20400, cette cartographie est un point central pour crédibiliser la démarche achats responsables…
OBSAR >> Le baromètre
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