
Le trait de côte recule inexorablement, quelles que soient les échelles spatiales d’études, les durées d’observation, le type de roches composant la côte et le contexte climatique. Les taux de recul mesurés apparaissent cependant comme très variables en fonction de ces différents paramètres.
Cette diversité de taux d’érosion n’est qu’une résultante de la complexité du problème.
Au sommaire :
- L’exemple du littoral normand
- D’un secteur à l’autre, des résultats paradoxaux
- Comment quantifier une accélération de l’érosion des côtes rocheuses ?
- La nécessité d’étudier le passé, sous l’eau
- Une indéniable accélération récente, mais…
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Cette diversité de taux d’érosion n’est qu’une résultante de la complexité du problème.
Au sommaire :
- L’exemple du littoral normand
- D’un secteur à l’autre, des résultats paradoxaux
- Comment quantifier une accélération de l’érosion des côtes rocheuses ?
- La nécessité d’étudier le passé, sous l’eau
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