
En 2023, le Comité National Trait de Côte (CNTC) a engagé des réflexions visant à améliorer les moyens d'action pour l'adaptation des territoires littoraux aux effets du changement climatique. Une mission d'inspection IGEDD-IGA a été chargée de produire des propositions concernant le financement de la recomposition spatiale des territoires littoraux soumis au recul du trait de côte. Dans ce cadre, et sous l'égide du ministère de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires (MTECT), le Cerema a réalisé une série d’études pour mieux appréhender le recul du trait de côte d’ici la fin du siècle à l’échelle de l’hexagone et des départements et régions d'Outre-mer (DROM).
A 2028, environ un millier de bâtiments pourraient être touchés par le recul du trait de côte à l'échelle nationale. La valeur vénale des bâtiments identifiés, principalement résidentiels et commerciaux, est estimée à environ 240 millions d'euros.
A l'horizon 2050, 5 200 logements et 1 400 locaux d'activité pourraient être affectés par le recul du trait de côte, représentant une valeur totale de 1,2 milliard d'euros.
A l'horizon 2100, le nombre très élevé d'enjeux identifiés invite à une réflexion globale à l'échelle de grands territoires.
Source CEREMA
Une synthèse plus détaillée de la démarche d'étude et une cartographie dynamique sont disponible sur Géolittoral .
A 2028, environ un millier de bâtiments pourraient être touchés par le recul du trait de côte à l'échelle nationale. La valeur vénale des bâtiments identifiés, principalement résidentiels et commerciaux, est estimée à environ 240 millions d'euros.
A l'horizon 2050, 5 200 logements et 1 400 locaux d'activité pourraient être affectés par le recul du trait de côte, représentant une valeur totale de 1,2 milliard d'euros.
A l'horizon 2100, le nombre très élevé d'enjeux identifiés invite à une réflexion globale à l'échelle de grands territoires.
Source CEREMA
Une synthèse plus détaillée de la démarche d'étude et une cartographie dynamique sont disponible sur Géolittoral .
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