
La cour d'appel a examiné la demande de la commune visant à annuler un jugement du tribunal administratif qui l'avait condamnée à verser des sommes à la SAS pour des prestations intellectuelles.
La question juridique principale était la validité du contrat, contestée par la commune en raison de l'absence d'inscription des crédits au budget municipal.
Le tribunal a jugé que cette irrégularité ne justifiait pas l'annulation du contrat, permettant ainsi son application. La cour d'appel a confirmé cette position, rejetant l'appel de la commune et augmentant le montant dû à la SCIC GE Odyssea pour la facture n° 1020-06, tout en capitalisant les intérêts.
CAA Bordeaux n° 23BX02090 - 2025-05-12
Source Doctrine
La question juridique principale était la validité du contrat, contestée par la commune en raison de l'absence d'inscription des crédits au budget municipal.
Le tribunal a jugé que cette irrégularité ne justifiait pas l'annulation du contrat, permettant ainsi son application. La cour d'appel a confirmé cette position, rejetant l'appel de la commune et augmentant le montant dû à la SCIC GE Odyssea pour la facture n° 1020-06, tout en capitalisant les intérêts.
CAA Bordeaux n° 23BX02090 - 2025-05-12
Source Doctrine
Dans la même rubrique
-
Juris - Factures impayées : pas de différend sans refus explicite
-
Juris - Capacité financière d'une entreprise de création récente candidate à l'obtention d'un contrat de concession : la simple existence de liens capitalistiques ne suffit pas
-
Parl. - 67 recommandations pour une commande publique plus stratégique, responsable et souveraine
-
Juris - Délégation du conseil municipal et actions judiciaires sur les marchés publics : la compétence du maire reconnue
-
Juris - Commande publique et désordres : l’indemnité ne tient pas compte des surcoûts liés à l’activité de service public