
Aider les océans à capturer davantage de CO2 en y déversant du fer pour stimuler la croissance du phytoplancton : cette approche relevant de la « bioingénierie » du climat est vantée par plusieurs start-ups.
Elle est pourtant risquée, car les incertitudes autour des mécanismes naturels à l’œuvre sont nombreuses.
Sommaire
- La pompe biologique, moteur invisible du climat
- L’« hypothèse du fer »
- Les promesses fragiles de la fertilisation
- La fonte des glaciers, un accélérateur pour l’absorption océanique du CO2?
- L’océan, un allié qu’il ne faut pas surexploiter
Source - The Conversation
Elle est pourtant risquée, car les incertitudes autour des mécanismes naturels à l’œuvre sont nombreuses.
Sommaire
- La pompe biologique, moteur invisible du climat
- L’« hypothèse du fer »
- Les promesses fragiles de la fertilisation
- La fonte des glaciers, un accélérateur pour l’absorption océanique du CO2?
- L’océan, un allié qu’il ne faut pas surexploiter
Source - The Conversation
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