La récupération d'énergies fatales et/ou diffuses va incontestablement s'avérer un axe stratégique de la transition énergétique. C'est un tournant à ne pas manquer sur lequel les acteurs français sont en train de se positionner très favorablement.
Tous les secteurs d’activité sont concernés par ces tendances :
- le bâtiment (notamment avec le besoin de capteurs ou produits de commande sans fil autonomes, de réduction des consommations d’énergie en récupérant la chaleur d’eaux usées ou grises…
- le transport : produire du froid à partir de chaleur de gaz d’échappement , récupérer de l’énergie dispo (freinage, mouvement..) pour prolonger des batteries ou consommer moins de carburants tout en disposant de fonctionnalités électroniques plus nombreuses… etc.
- l’industrie : plus d’autonomie énergétique par la récupération de chaleur sur effluents liquides ou gazeux, ou relations d’échange de flux avec le territoire, suivi plus précis des process avec des capteurs disséminés, développement de nouveaux produits autonomes en énergie (sonnettes, interrupteurs, dispositifs médicaux etc.)
- les collectivités : augmenter les potentiels de ressources pour les réseaux de chaleur, augmenter les productivités de systèmes énergétiques dont la méthanisation (en valorisant aussi la chaleur des moteurs… ) etc.
L’enjeu est de mieux cerner le niveau de maturité des technologies : ce qu’elles permettent déjà de faire, ce qu’on est en droit d’en attendre d’ici quelques années ? (échangeurs, conversion d’énergie, systèmes de collecte d’énergie diffuse).
Direction générale des entreprises - 2015-03-13
Tous les secteurs d’activité sont concernés par ces tendances :
- le bâtiment (notamment avec le besoin de capteurs ou produits de commande sans fil autonomes, de réduction des consommations d’énergie en récupérant la chaleur d’eaux usées ou grises…
- le transport : produire du froid à partir de chaleur de gaz d’échappement , récupérer de l’énergie dispo (freinage, mouvement..) pour prolonger des batteries ou consommer moins de carburants tout en disposant de fonctionnalités électroniques plus nombreuses… etc.
- l’industrie : plus d’autonomie énergétique par la récupération de chaleur sur effluents liquides ou gazeux, ou relations d’échange de flux avec le territoire, suivi plus précis des process avec des capteurs disséminés, développement de nouveaux produits autonomes en énergie (sonnettes, interrupteurs, dispositifs médicaux etc.)
- les collectivités : augmenter les potentiels de ressources pour les réseaux de chaleur, augmenter les productivités de systèmes énergétiques dont la méthanisation (en valorisant aussi la chaleur des moteurs… ) etc.
L’enjeu est de mieux cerner le niveau de maturité des technologies : ce qu’elles permettent déjà de faire, ce qu’on est en droit d’en attendre d’ici quelques années ? (échangeurs, conversion d’énergie, systèmes de collecte d’énergie diffuse).
Direction générale des entreprises - 2015-03-13
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