C’est pourquoi il faut donner aux personnes concernées les moyens de participer. C’est ce à quoi nous avons été particulièrement attentifs pour définir les règles de participation des personnes hébergées ou en situation de précarité qui permettent de faciliter la participation citoyenne : durée du mandat limité, possibilité d’entrées / sorties permanentes, possibilité de participer au titre d’une expérience passée…
Le kit de la participation citoyenne met également l’accent sur l’importance des questions de moyens, lorsque l’on souhaite mettre en place une démarche de participation :
Les moyens matériels : pour se déplacer, imprimer les documents…
Les moyens humains également : pour pouvoir aider les personnes à préparer leur intervention, à intervenir en public…
Et les moyens techniques : pour assurer un minimum de convivialité (café, repas…).
Ce kit doit encore être amélioré, pour devenir un instrument vivant, c’est-à-dire qui donne envie, qui montre ce qui est possible, ce qui fonctionne… Il faudra donc l’enrichir de témoignages, d’exemples concrets, de bonnes pratiques. Et il faudra l’évaluer. Et en débattre…
La participation doit s’inscrire dans la durée
Car il ne suffit pas d’ouvrir un espace de dialogue et de le refermer aussi tôt, sans donner de perspective, de visibilité, de sens à ces démarches. Car comment mobiliser les citoyens s’il s’agit simplement de leur demander leur avis sans qu’ils sachent l’usage qui en sera fait ?
Quel avenir pour la participation ?
Face à ce qui ressemble à une forme de crise démocratique, nous avons un devoir collectif, qui est de ne pas nous contenter de parler de participation, mais de faire en sorte qu’elle soit effective et réellement mise en oeuvre à tous les échelons de la société..
Ministère des Affaires sociales et de la Santé - 2016-10-28
Le kit de la participation citoyenne met également l’accent sur l’importance des questions de moyens, lorsque l’on souhaite mettre en place une démarche de participation :



Ce kit doit encore être amélioré, pour devenir un instrument vivant, c’est-à-dire qui donne envie, qui montre ce qui est possible, ce qui fonctionne… Il faudra donc l’enrichir de témoignages, d’exemples concrets, de bonnes pratiques. Et il faudra l’évaluer. Et en débattre…
La participation doit s’inscrire dans la durée
Car il ne suffit pas d’ouvrir un espace de dialogue et de le refermer aussi tôt, sans donner de perspective, de visibilité, de sens à ces démarches. Car comment mobiliser les citoyens s’il s’agit simplement de leur demander leur avis sans qu’ils sachent l’usage qui en sera fait ?
Quel avenir pour la participation ?
Face à ce qui ressemble à une forme de crise démocratique, nous avons un devoir collectif, qui est de ne pas nous contenter de parler de participation, mais de faire en sorte qu’elle soit effective et réellement mise en oeuvre à tous les échelons de la société..
Ministère des Affaires sociales et de la Santé - 2016-10-28
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