
Dans le droit fil de sa première prise de position, l’ABF demande le maintien de l’exonération de toute rémunération au titre du droit de représentation pour les heures du conte et les lectures à voix haute, ceci pour toutes les bibliothèques sans exception, d’autant plus que les représentants des auteurs ne réclament pas son application dans ces cas de figure.
Au terme d’une année de consultation opérée par la Société Civile des Éditeurs de Langue Française (SCELF) - dont la dernière réunion s’est tenue vendredi 1er décembre au ministère de la Culture et de la Communication menée par la DGMIC, en présence de la SCELF, du SNE, des représentants des auteurs (SGDL, Charte des illustrateurs jeunesse) et de l’ABF - quant à la rémunération des lectures publiques, bibliothécaires et auteurs (par la voie de leurs représentants respectifs) expriment publiquement leur incompréhension !
En effet, la SCELF considère que la rémunération des lectures publiques, en particulier des heures du conte pour les bibliothèques, est une question de principe qui s’applique donc à tous. Ce principe absolu fait déjà l’objet d’une exception en faveur des lectures se déroulant en librairie. Lors de cette réunion, la SCELF propose au final de ne taxer que les bibliothèques municipales disposant d’un budget pour leurs animations et donc de fait, organisant des heures du conte. Cette taxation se ferait sur la base d’un forfait annuel de 100 euros pour ces bibliothèques. L’ABF dénonce cette approche inapplicable et inéquitable…
ABF - 2017-12-12
Au terme d’une année de consultation opérée par la Société Civile des Éditeurs de Langue Française (SCELF) - dont la dernière réunion s’est tenue vendredi 1er décembre au ministère de la Culture et de la Communication menée par la DGMIC, en présence de la SCELF, du SNE, des représentants des auteurs (SGDL, Charte des illustrateurs jeunesse) et de l’ABF - quant à la rémunération des lectures publiques, bibliothécaires et auteurs (par la voie de leurs représentants respectifs) expriment publiquement leur incompréhension !
En effet, la SCELF considère que la rémunération des lectures publiques, en particulier des heures du conte pour les bibliothèques, est une question de principe qui s’applique donc à tous. Ce principe absolu fait déjà l’objet d’une exception en faveur des lectures se déroulant en librairie. Lors de cette réunion, la SCELF propose au final de ne taxer que les bibliothèques municipales disposant d’un budget pour leurs animations et donc de fait, organisant des heures du conte. Cette taxation se ferait sur la base d’un forfait annuel de 100 euros pour ces bibliothèques. L’ABF dénonce cette approche inapplicable et inéquitable…
ABF - 2017-12-12
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