
Sur la forme, les choix estivaux ne sont pas expliqués, les impacts ne sont pas anticipés ni mesurés, la méthode est jugée brutale et descendante. Le dialogue n’est pas au rendez-vous. A titre d’exemple, l’absence de réponses aux lettres ouvertes des associations d’élus n’est pas acceptable au regard des situations d’urgences vécues dans les quartiers populaires.
Sur le fond, et à court terme, les conséquences sont déjà dramatiques tant la situation est quasi explosive dans de nombreux quartiers…
Pour ces raisons, les maires s’engagent à se réunir pour organiser à la mi-octobre à Grigny"les états généraux de la politique de la ville, les solutions".
Ville & Banlieue - 2017-09-15
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