
Le recours à la violence envers des élus exerçant leur mandat devient systématique et nous ne pouvons accepter que «l’élu préféré des Français» serve de punching-ball et prenne des coups de la part d’individus qui refusent qu’on leur rappelle les règles du vivre ensemble dans notre société.
Cette enquête permet de mettre aujourd’hui en lumière les témoignages des élus d’Ile-de-France sur leur sentiment d’insécurité, sur les agressions vécues, qu’elles soient physiques ou verbales.
Les résultats compilés et analysés qui sont détaillés permettent d’avoir une meilleure connaissance de l’état actuel de la situation en Ile-de-France, sur laquelle nous nous appuyons pour proposer des solutions pour améliorer la protection des élus locaux dans le cadre de leur mandat.
Cette étude a permis d’objectiver les atteintes à la sécurité des élus locaux franciliens.
Le constat alarmant est tout d’abord qu’un grand nombre d’élus ont déjà subi des agressions physiques du fait de leur statut d’élu local, et que 9 % d’entre eux en ont gardé des séquelles. Le constat est encore plus grave pour les agressions verbales, menaces et harcèlements, qui concernent une très grande majorité des élus locaux d’Ile-de-France (69 %).
De cela découle un fort sentiment collectif d’insécurité qui est également partagé par l’entourage des élus locaux. C’est plus généralement la reconnaissance du statut de l’élu et l’autorité qu’ils représentent qui semblent décriées dans notre société.
Il ressort clairement de cette étude qu’un sentiment de manque de prise en compte et d’action à l’encontre des agressions isole et décourage les élus locaux.
Ce sentiment d’insécurité n’est pas toujours bien connu par les médias et le grand public, et l’on peut comprendre les réticences qui pouvaient amener des dépositaires de l’autorité publique à communiquer sur ce phénomène, tant qu’il était peu fréquent.
- Mieux former et informer sur la protection fonctionnelle
- Travailler avec la justice et les forces de l’ordre pour mieux accompagner les élus et appliquer réellement les sanctions que méritent les agresseurs.
- Rompre l’isolement après une agression
Source >> AMIF
Cette enquête permet de mettre aujourd’hui en lumière les témoignages des élus d’Ile-de-France sur leur sentiment d’insécurité, sur les agressions vécues, qu’elles soient physiques ou verbales.
Les résultats compilés et analysés qui sont détaillés permettent d’avoir une meilleure connaissance de l’état actuel de la situation en Ile-de-France, sur laquelle nous nous appuyons pour proposer des solutions pour améliorer la protection des élus locaux dans le cadre de leur mandat.
Cette étude a permis d’objectiver les atteintes à la sécurité des élus locaux franciliens.
Le constat alarmant est tout d’abord qu’un grand nombre d’élus ont déjà subi des agressions physiques du fait de leur statut d’élu local, et que 9 % d’entre eux en ont gardé des séquelles. Le constat est encore plus grave pour les agressions verbales, menaces et harcèlements, qui concernent une très grande majorité des élus locaux d’Ile-de-France (69 %).
De cela découle un fort sentiment collectif d’insécurité qui est également partagé par l’entourage des élus locaux. C’est plus généralement la reconnaissance du statut de l’élu et l’autorité qu’ils représentent qui semblent décriées dans notre société.
Il ressort clairement de cette étude qu’un sentiment de manque de prise en compte et d’action à l’encontre des agressions isole et décourage les élus locaux.
Ce sentiment d’insécurité n’est pas toujours bien connu par les médias et le grand public, et l’on peut comprendre les réticences qui pouvaient amener des dépositaires de l’autorité publique à communiquer sur ce phénomène, tant qu’il était peu fréquent.
- Mieux former et informer sur la protection fonctionnelle
- Travailler avec la justice et les forces de l’ordre pour mieux accompagner les élus et appliquer réellement les sanctions que méritent les agresseurs.
- Rompre l’isolement après une agression
Source >> AMIF
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