L’exposition au bruit, principalement due aux transports et bruits de voisinage, a un «coût social» de 155,7 milliards d’euros par an en France, avec des conséquences sanitaires (perte de sommeil, troubles mentaux, mortalité prématurée, etc.) et économiques (perte de productivité, dépréciation immobilière, etc.), estime un rapport de l’Ademe et du CNB publié en juillet 2021. Mais une part importante de ces coûts sociaux pourrait être évitée, avec des mesures visant à réduire simultanément le bruit et la pollution de l’air
L’Ademe et le CNB ont mené une étude sur l’évaluation du coût social du bruit en France, avec deux objectifs :
- Evaluer le coût social du bruit en France, les coûts marchands ou non, supportés par les Français ;
- Examiner la rentabilité de certaines mesures d’évitement simultané du bruit et de la pollution de l’air.
Ces évaluations ont donc été faites en tenant compte de deux types de coûts :
- Les coûts marchands, soit les dépenses directement quantifiables ;
- Les coûts non marchands, estimés par la valorisation des années de vie en bonne santé perdues et la mortalité prématurée du fait de l’exposition au bruit.
Au sommaire
- Les nuisances sonores concernent tous les domaines de vie
- Avec des conséquences directes sur 25 millions de Français
- Mais ces coûts pourraient être évités
Ordre Des Architectes >> Etude complète
L’Ademe et le CNB ont mené une étude sur l’évaluation du coût social du bruit en France, avec deux objectifs :
- Evaluer le coût social du bruit en France, les coûts marchands ou non, supportés par les Français ;
- Examiner la rentabilité de certaines mesures d’évitement simultané du bruit et de la pollution de l’air.
Ces évaluations ont donc été faites en tenant compte de deux types de coûts :
- Les coûts marchands, soit les dépenses directement quantifiables ;
- Les coûts non marchands, estimés par la valorisation des années de vie en bonne santé perdues et la mortalité prématurée du fait de l’exposition au bruit.
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