
Fin 2016, 159 000 personnes étaient logées dans un logement dit «adapté». Ce chiffre recouvre des réalités sociales et institutionnelles très différentes selon la catégorie de logement adapté concernée.
Les foyers de jeunes travailleurs (FJT, 35 000 personnes) ont vocation à loger des jeunes actifs ou en voie d’insertion. Près de 80 % ont moins de 25 ans et deux tiers ont un emploi.
Les foyers de travailleurs migrants (FTM, 38 000 personnes) et les résidences sociales qui sont issues de la transformation d’anciens FTM (52 000 personnes) accueillent traditionnellement des hommes isolés issus de l’immigration, dont une part importante a vieilli dans ces établissements.
Les personnes à la retraite représentent ainsi près du tiers des effectifs présents.
Les écarts d’ancienneté relevés entre les différents types de logement adapté témoignent de ces différences : près de 50 % des résidents de FTM y vivent depuis cinq ans ou plus, tandis que seuls 1 % des habitants de FJT dépassent cette durée. Les résidences sociales créées ex nihilo (25 000 personnes) se caractérisent quant à elles par une plus grande mixité de peuplement et notamment par la présence d’un peu plus de familles. Environ trois quarts des adultes logés sont des hommes seuls sans enfant, près de la moitié est d’une nationalité hors de l’Union européenne.
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Les foyers de jeunes travailleurs (FJT, 35 000 personnes) ont vocation à loger des jeunes actifs ou en voie d’insertion. Près de 80 % ont moins de 25 ans et deux tiers ont un emploi.
Les foyers de travailleurs migrants (FTM, 38 000 personnes) et les résidences sociales qui sont issues de la transformation d’anciens FTM (52 000 personnes) accueillent traditionnellement des hommes isolés issus de l’immigration, dont une part importante a vieilli dans ces établissements.
Les personnes à la retraite représentent ainsi près du tiers des effectifs présents.
Les écarts d’ancienneté relevés entre les différents types de logement adapté témoignent de ces différences : près de 50 % des résidents de FTM y vivent depuis cinq ans ou plus, tandis que seuls 1 % des habitants de FJT dépassent cette durée. Les résidences sociales créées ex nihilo (25 000 personnes) se caractérisent quant à elles par une plus grande mixité de peuplement et notamment par la présence d’un peu plus de familles. Environ trois quarts des adultes logés sont des hommes seuls sans enfant, près de la moitié est d’une nationalité hors de l’Union européenne.
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