Doc - Observatoire des impacts territoriaux de la crise : premières analyses des mouvements résidentiels

Le dernier webinaire de l’OITC a mis l’accent sur l’évolution des inscriptions des élèves dans les premier et second degrés, à l’échelle de chaque intercommunalité. Ces travaux ont tendance à confirmer une attraction des jeunes couples avec enfant plus forte de la part des communautés de communes que des métropoles. Attention toutefois à de fortes différences entre métropoles.

Le départ de jeunes couples avec enfants scolarisés dans le premier degré vers des territoires moins denses
La question des mouvements résidentiels liés à la période 2020-2021 a été abordée mais aussi l’analyse des impacts de la crise dans les bassins d’emploi en termes d’emploi et de défaillance d’entreprises. L’objectif est de déterminer si in fine, nous assistons à des mobilités des métropoles vers les territoires ruraux et les villes moyennes.
L’observatoire poursuivra ces travaux afin d’accompagner les territoires dans l’anticipation de l’arrivée de nouvelles populations avec des aspirations nouvelles et nécessitant le déploiement de nouveaux services à la population.

Les principaux enseignements de la première année de crise
Olivier Portier (expert en analyse territoriale, cabinet OPC) puis David Cousquer, créateur et gérant de Trendeo ont présenté de nouveaux résultats sur les impacts territoriaux de la crise en terme d’emploi et de défaillances d’entreprises.
A titre d’exemple, entre le volume d’emplois salariés privés au 3è trimestre 2019 et les emplois qui auraient dû être créés si la crise n’avait pas eu lieu, de nombreux territoires sont déficitaires.

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