Les dispositions du code forestier, qui se bornent à prévoir la durée de validité de l'autorisation de défrichement, le délai dans lequel le titulaire d'une autorisation de défrichement doit transmettre à l'autorité administrative un acte d'engagement des travaux compensatoires qui lui sont imposés, le délai pour réaliser ces travaux ainsi que le délai maximum dans lequel les lieux défrichés doivent être rétablis en nature de bois en cas d'inexécution des travaux compensatoires, ne mettent en cause ni les principes fondamentaux susmentionnés ni aucune autre règle ou aucun autre principe que la Constitution place dans le domaine de la loi …
Conseil constitutionnel - Décision n° 2015-254 L - 2015-04-09
Conseil constitutionnel - Décision n° 2015-254 L - 2015-04-09
Dans la même rubrique
-
Juris - Infractions au code de l’urbanisme : astreinte assortissant une remise en état des lieux
-
Parl. - Simplification de la vie économique - Rejet des amendements visant à supprimer le ZAN
-
JORF - Prorogation du délai de validité des autorisations d'urbanisme délivrées entre le 1er janvier 2021 et le 28 mai 2024
-
Actu - Où et comment désimperméabiliser les sols urbains en priorité ? Le Cerema accompagne La Roche-sur-Yon pour définir sa stratégie
-
Actu - Urbanisme, environnement, commande publique : ce que change la loi DDADUE