
Après avoir écarté l’option d’un gouvernement du Nouveau Front populaire, Emmanuel Macron a annoncé le 26 juillet l’ouverture d’un nouveau cycle de consultations en vue de faire émerger un nom pour Matignon. Plusieurs universitaires contactés par Public Sénat livrent leur analyse.
Les deux journées d’entrevues à l’Élysée n’ont pas permis de sortir de l’impasse institutionnelle dans laquelle la France est plongée depuis la fin des élections législatives, le 7 juillet. Emmanuel Macron a fait connaître sa décision ce lundi soir , après une série d’entretiens avec l’ensemble des partis représentés au Parlement. Il n’a pas retenu l’option d’un gouvernement composé uniquement du Nouveau Front populaire (NFP), sur la base de son seul programme, quand bien même celui-ci disposerait du plus grand nombre de députés.
Le chef de l’État a constaté qu’un Premier ministre soutenu par cette alliance serait « immédiatement censuré » à l’Assemblée nationale par l’ensemble des autres formations. Et a refusé cette option, au nom de la « stabilité institutionnelle », avant d’appeler les partis de gauche, à l’exception des Insoumis, à faire preuve « d’esprit de responsabilité ».
De nouvelles consultations reprennent avec les responsables des partis mais également des personnalités. Voici donc six semaines que le gouvernement Attal a démissionné. Quel regard porter sur la méthode d’Emmanuel Macron, du point de vue de la Constitution et du fonctionnement de nos institutions ?
Au sommaire
« Il est un peu obligé de jouer un jeu parlementaire, alors que ce n’est pas le rôle du président de la République »
« Emmanuel Macron n’est pas simplement un arbitre »
« Ce qu’il aurait pu faire dès le lendemain des législatives se produit dès la fin août »
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Futur Premier ministre : les personnalités de gauche qui pourraient faire consensus
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Premier ministre : Éric Lombard, Jean-Dominique Senard… Les noms qui circulent pour diriger un gouvernement technique
Public Sénat Article complet
"Moment politique inédit", "grand flou", "coup de force"... à l'Assemblée, commentaires et réactions en attendant la nomination d'un Premier ministre
LCP Article complet
Les deux journées d’entrevues à l’Élysée n’ont pas permis de sortir de l’impasse institutionnelle dans laquelle la France est plongée depuis la fin des élections législatives, le 7 juillet. Emmanuel Macron a fait connaître sa décision ce lundi soir , après une série d’entretiens avec l’ensemble des partis représentés au Parlement. Il n’a pas retenu l’option d’un gouvernement composé uniquement du Nouveau Front populaire (NFP), sur la base de son seul programme, quand bien même celui-ci disposerait du plus grand nombre de députés.
Le chef de l’État a constaté qu’un Premier ministre soutenu par cette alliance serait « immédiatement censuré » à l’Assemblée nationale par l’ensemble des autres formations. Et a refusé cette option, au nom de la « stabilité institutionnelle », avant d’appeler les partis de gauche, à l’exception des Insoumis, à faire preuve « d’esprit de responsabilité ».
De nouvelles consultations reprennent avec les responsables des partis mais également des personnalités. Voici donc six semaines que le gouvernement Attal a démissionné. Quel regard porter sur la méthode d’Emmanuel Macron, du point de vue de la Constitution et du fonctionnement de nos institutions ?
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