Malgré les progrès importants accomplis dans la connaissance des villes, il demeure paradoxalement difficile d’en donner une définition globale. C’est de cette difficulté que se sont emparés le CGET, le Cerema, l’Insee, la Fnau et l’AdCF à l’occasion du séminaire annuel de l’Observation urbaine, le 30 novembre dernier, à Paris. "Urbain or not urbain ?", telle était la question…
L’objectif du séminaire de l’Observation urbaine était de définir et de mesurer la ville dans une perspective internationale, comme l’indiquait le titre choisi pour cette édition 2018, "Urbain or not urbain ?". En effet, le besoin d’une définition mondiale des villes devient de plus en plus prégnant dans un contexte de globalisation des échanges et des savoir-faire, mais aussi des enjeux partagés (démographiques, climatiques, économiques…). Or, les définitions nationales ne coïncident pas toujours entre elles et manquent souvent de précision et d’une base scientifique.
Une base commune pour définir la ville
De nombreux chercheurs plaident pour une définition de la ville centrée sur la population et sa densité (définition morphologique), à laquelle peut être ajoutée une dimension fonctionnelle (déplacements, accessibilité). Cette base commune pourrait aider à déterminer, par exemple, les villes qui seraient les plus à risque face à une catastrophe naturelle et au dérèglement climatique…
Des outils pour comparer les territoires
Par ailleurs, la question des comparaisons entre territoires, à l’échelle nationale et internationale, était au cœur de la séquence d’actualités du séminaire…
CGET - Article complet - 2018-12-07
L’objectif du séminaire de l’Observation urbaine était de définir et de mesurer la ville dans une perspective internationale, comme l’indiquait le titre choisi pour cette édition 2018, "Urbain or not urbain ?". En effet, le besoin d’une définition mondiale des villes devient de plus en plus prégnant dans un contexte de globalisation des échanges et des savoir-faire, mais aussi des enjeux partagés (démographiques, climatiques, économiques…). Or, les définitions nationales ne coïncident pas toujours entre elles et manquent souvent de précision et d’une base scientifique.
Une base commune pour définir la ville
De nombreux chercheurs plaident pour une définition de la ville centrée sur la population et sa densité (définition morphologique), à laquelle peut être ajoutée une dimension fonctionnelle (déplacements, accessibilité). Cette base commune pourrait aider à déterminer, par exemple, les villes qui seraient les plus à risque face à une catastrophe naturelle et au dérèglement climatique…
Des outils pour comparer les territoires
Par ailleurs, la question des comparaisons entre territoires, à l’échelle nationale et internationale, était au cœur de la séquence d’actualités du séminaire…
CGET - Article complet - 2018-12-07
Dans la même rubrique
-
Actu - Petites villes de demain - Le point d'avancement au 1er janvier 2024 est en ligne !
-
Actu - Stratégie de résilience de Besançon : une coopération fructueuse avec le Cerema pour intégrer la résilience dans les politiques de la ville
-
Actu - Comité ministériel qualité de l'air en ville
-
Doc - Dans les pôles des grandes aires d’attraction des villes, sept emménagements sur dix en 2020 sont issus du même pôle
-
Actu - Transition climatique et énergétique