3,5 millions de personnes sont mal-logées en France, selon la Fondation Abbé Pierre dont l’estimation est réalisée à partir de différentes enquêtes qui s’échelonnent sur plusieurs années. Du sans domicile fixe au jeune qui revient habiter chez ses parents, en passant par le couple qui vit avec son enfant dans un studio, le mal-logement regroupe trois dimensions très différentes : la qualité de l’habitat, sa taille et le fait d’en être ou non titulaire.
Premièrement, être mal-logé, c’est vivre dans un habitat de très mauvaise qualité…
Deuxièmement, être mal-logé, c’est manquer d’espace…
Troisièmement, être mal-logé, c’est dépendre des autres dans ce domaine, qu’il soit votre ami, de la famille ou une association…
La situation du mal-logement en France n’a pas grand-chose à voir avec celle que notre pays a pu connaître dans l’après-guerre. Mais la persistance d’un tel niveau de mal-logement est d’autant plus problématique que notre pays est plus riche et que, globalement, les conditions générales de logements ont plutôt eu tendance à s’améliorer : le décalage n’en est que plus grand.
Il serait intéressant de pouvoir mesurer l’évolution dans le temps de ce mal-logement. Malheureusement l’état actuel des statistiques ne permet pas d’entrer dans ce niveau de détail et uniquement d’offrir une photographie. En particulier, on mesure mal l’impact de la crise chez les jeunes ménages.
Centre d'observation de la société - 2015-10-05
Premièrement, être mal-logé, c’est vivre dans un habitat de très mauvaise qualité…
Deuxièmement, être mal-logé, c’est manquer d’espace…
Troisièmement, être mal-logé, c’est dépendre des autres dans ce domaine, qu’il soit votre ami, de la famille ou une association…
La situation du mal-logement en France n’a pas grand-chose à voir avec celle que notre pays a pu connaître dans l’après-guerre. Mais la persistance d’un tel niveau de mal-logement est d’autant plus problématique que notre pays est plus riche et que, globalement, les conditions générales de logements ont plutôt eu tendance à s’améliorer : le décalage n’en est que plus grand.
Il serait intéressant de pouvoir mesurer l’évolution dans le temps de ce mal-logement. Malheureusement l’état actuel des statistiques ne permet pas d’entrer dans ce niveau de détail et uniquement d’offrir une photographie. En particulier, on mesure mal l’impact de la crise chez les jeunes ménages.
Centre d'observation de la société - 2015-10-05
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