
Le 12 juin, une quarantaine de participants (collectivités, services de l’État, aménageurs, Cerema) se sont réunis à Paris pour lancer le groupe de travail sur l’approche financière. Il s'agit d'un nouveau chantier du club EcoQuartier en lien avec les questions d'évaluation.
Comme toute opération d’aménagement, les EcoQuartiers sont aussi des opérations économiques qui s’inscrivent dans le temps long de l’aménagement en mobilisant de nombreux acteurs publics et privés.
La plus faible disponibilité de l’argent public remet en cause la capacité des collectivités à contribuer aux opérations d’aménagement, ce qui suppose des modes d’actions renouvelés de la part des pouvoirs publics et de leurs opérateurs, avec une exigence accrue de démontrer davantage la "rentabilité" des opérations d’aménagement projetées et d’étayer la solidité des outils et la pertinence des choix opérés pour la maîtrise des dépenses engagées et la sécurisation des revenus espérés.
L’un des enjeux de l’aménagement durable est aujourd’hui la question de son financement : on ne financera pas aujourd’hui la ville de demain comme on a pu financer la ville d’hier. Après 2 ans de travail sur l’évaluation, le ministère a souhaité fin 2017, approfondir la question financière dans les EcoQuartiers, en lien avec l’engagement 3 : "Intégrer la dimension financière tout au long du projet dans une approche en coût global", dans le cadre d'un nouveau groupe de travail animé par le Cerema.
Retour sur la journée du 12 juin
Le 12 juin, une quarantaine de membres du club EcoQuartiers (collectivités, services de l’État, aménageurs, Cerema) se sont réunis à Paris pour lancer le groupe de travail sur l’approche financière.
Des échanges, sont ressortis les besoins suivants (sans hiérarchie d’importance) :
Besoin n°1 : Répondre aux attentes politiques et citoyennes et pouvoir justifier les investissements.
Besoin n°2 : Aujourd’hui, on manque de "chiffres". On ne sait pas toujours qui paye quoi !
Besoin n°3 : Anticiper les coûts de fonctionnement
Besoin n°4 : Prendre en compte les externalités
Besoin n°5 : Réussir à sortir les opérations
Besoin n°6 : rendre le sujet du "coût global" compréhensible
Besoin n°7 : disposer d’un "lieu" d’échanges sur le sujet
CEREMA - 2018-08-13
Comme toute opération d’aménagement, les EcoQuartiers sont aussi des opérations économiques qui s’inscrivent dans le temps long de l’aménagement en mobilisant de nombreux acteurs publics et privés.
La plus faible disponibilité de l’argent public remet en cause la capacité des collectivités à contribuer aux opérations d’aménagement, ce qui suppose des modes d’actions renouvelés de la part des pouvoirs publics et de leurs opérateurs, avec une exigence accrue de démontrer davantage la "rentabilité" des opérations d’aménagement projetées et d’étayer la solidité des outils et la pertinence des choix opérés pour la maîtrise des dépenses engagées et la sécurisation des revenus espérés.
L’un des enjeux de l’aménagement durable est aujourd’hui la question de son financement : on ne financera pas aujourd’hui la ville de demain comme on a pu financer la ville d’hier. Après 2 ans de travail sur l’évaluation, le ministère a souhaité fin 2017, approfondir la question financière dans les EcoQuartiers, en lien avec l’engagement 3 : "Intégrer la dimension financière tout au long du projet dans une approche en coût global", dans le cadre d'un nouveau groupe de travail animé par le Cerema.
Retour sur la journée du 12 juin
Le 12 juin, une quarantaine de membres du club EcoQuartiers (collectivités, services de l’État, aménageurs, Cerema) se sont réunis à Paris pour lancer le groupe de travail sur l’approche financière.
Des échanges, sont ressortis les besoins suivants (sans hiérarchie d’importance) :
Besoin n°1 : Répondre aux attentes politiques et citoyennes et pouvoir justifier les investissements.
Besoin n°2 : Aujourd’hui, on manque de "chiffres". On ne sait pas toujours qui paye quoi !
Besoin n°3 : Anticiper les coûts de fonctionnement
Besoin n°4 : Prendre en compte les externalités
Besoin n°5 : Réussir à sortir les opérations
Besoin n°6 : rendre le sujet du "coût global" compréhensible
Besoin n°7 : disposer d’un "lieu" d’échanges sur le sujet
CEREMA - 2018-08-13
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