Aujourd’hui, la loi Egalim impose à la restauration collective au moins 50 % de produits de qualité et durables, dont au minimum 20 % de produits biologiques, une diversification des sources de protéines (au-delà de 200 repas par jour) et un renforcement de la lutte contre le gaspillage (au-delà de 3000 repas par jour).
Pourtant, derrière les discours volontaristes, les initiatives vertueuses et documentées tardent à émerger. Nous avons mené l’enquête pour comprendre les chemins de transition empruntés par des restaurants collectifs en France.
Au Sommaire :
- Du bio et du local, moins de viande et de produits ultra-transformés
- Notre enquête auprès de 29 restaurants
- Quatre chemins possibles
- Mobilisation des ressources internes et externes
- Peu coûteux et source de développement économique
- Un succès à généraliser
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Pourtant, derrière les discours volontaristes, les initiatives vertueuses et documentées tardent à émerger. Nous avons mené l’enquête pour comprendre les chemins de transition empruntés par des restaurants collectifs en France.
Au Sommaire :
- Du bio et du local, moins de viande et de produits ultra-transformés
- Notre enquête auprès de 29 restaurants
- Quatre chemins possibles
- Mobilisation des ressources internes et externes
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