
Devenir en 2028 «capitale européenne de la culture», voilà l’espoir de plusieurs villes françaises en compétition. C’est maintenant qu’il faut construire le projet et communiquer sur la candidature.
On se souvient encore de Lille capitale européenne de la culture en 2004 ou de Marseille en 2013. Car le label, né en 1985 de l’initiative de Mélina Mercouri, alors ministre grecque de la Culture, est porteur. Pas seulement pour promouvoir la culture dans la ville mais aussi pour le positionnement et le rayonnement de la cité. Et les villes labélisées en mesurent longtemps les bénéfices.
Selon la Commission européenne, ce label représente pour les villes l’opportunité de mettre en œuvre une stratégie de développement culturel urbain. «Il s’agit pour les villes choisies de fédérer autour de leurs images l’ensemble des habitants en créant un sentiment d’appartenance. Le dynamisme culturel se veut comme un moyen de concilier l’endogène (les habitants) et l’exogène (les touristes) autour d’événements culturels générateurs d’une dynamique sociale, portée par les acteurs locaux et en lien avec l’offre en matière de culture et d’art.»
Chaque année, deux villes dans deux États différents sont désignées. La compétition est lancée six ans avant l’année capitale. La France est le pays de l’Union européenne, avec la République tchèque, retenu pour 2028 et doit donc sélectionner sa ville candidate. La décision devrait être prise fin 2022 pour être capitale en 2028. Il ne reste donc plus beaucoup de temps aux villes pour faire valoir leurs atouts à coups de communication sur le projet et d’un intense lobbying.
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On se souvient encore de Lille capitale européenne de la culture en 2004 ou de Marseille en 2013. Car le label, né en 1985 de l’initiative de Mélina Mercouri, alors ministre grecque de la Culture, est porteur. Pas seulement pour promouvoir la culture dans la ville mais aussi pour le positionnement et le rayonnement de la cité. Et les villes labélisées en mesurent longtemps les bénéfices.
Selon la Commission européenne, ce label représente pour les villes l’opportunité de mettre en œuvre une stratégie de développement culturel urbain. «Il s’agit pour les villes choisies de fédérer autour de leurs images l’ensemble des habitants en créant un sentiment d’appartenance. Le dynamisme culturel se veut comme un moyen de concilier l’endogène (les habitants) et l’exogène (les touristes) autour d’événements culturels générateurs d’une dynamique sociale, portée par les acteurs locaux et en lien avec l’offre en matière de culture et d’art.»
Chaque année, deux villes dans deux États différents sont désignées. La compétition est lancée six ans avant l’année capitale. La France est le pays de l’Union européenne, avec la République tchèque, retenu pour 2028 et doit donc sélectionner sa ville candidate. La décision devrait être prise fin 2022 pour être capitale en 2028. Il ne reste donc plus beaucoup de temps aux villes pour faire valoir leurs atouts à coups de communication sur le projet et d’un intense lobbying.
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