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En France, seules deux dispositions funéraires sont envisageables : l’inhumation ou sa crémation. Toutefois, il est désormais établi que les bilans sanitaires et environnementaux de ces pratiques sont mauvais .
Dans ce contexte, les pratiques funéraires « alternatives » sont de plus en plus plébiscitées. Dans l’Hexagone, nombreux sont ceux qui souhaiteraient que leur corps puisse être (littéralement) recyclé : c’est le principe de l’humusation, une forme de compostage appliquée aux défunts.
Bien que directement inspirée des processus biologiques, cette biodégradation soulève de nombreuses questions.
Au Sommaire :
L’humusation et la loi
Une pratique douce ?
Risques et santé publique
Des interrogations éthiques
Vers un débat de société ?
The Conversation >> Article complet
Dans ce contexte, les pratiques funéraires « alternatives » sont de plus en plus plébiscitées. Dans l’Hexagone, nombreux sont ceux qui souhaiteraient que leur corps puisse être (littéralement) recyclé : c’est le principe de l’humusation, une forme de compostage appliquée aux défunts.
Bien que directement inspirée des processus biologiques, cette biodégradation soulève de nombreuses questions.
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